Les nouveaux docks Marseille

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Les docks font partie intégrante de l’histoire de Marseille. Par des travaux conséquents, ils renaîtront en 2013, année d’intronisation de Marseille Capitale européenne de la culture !

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Le projet de transformation de la cité phocéenne s’appuie sur le concept de développement durable. Au lieu d’utiliser des friches naturelles vierges pour bâtir de nouvelles constructions, les architectes construisent « la ville sur la ville », et les espaces sont utilisés au maximum. Cela a d’ailleurs valu au projet le label « Eco cité ».

Le projet de transformation de la cité phocéenne s’appuie sur le concept de développement durable. Au lieu d’utiliser des friches naturelles vierges pour bâtir de nouvelles constructions, les architectes construisent « la ville sur la ville », et les espaces sont utilisés au maximum. Cela a d’ailleurs valu au projet le label « Eco cité ».

©5+1AA
  • Les Quai d’Arenc offrent une nouvelle vitrine sur Marseille. Jean Nouvel, Yves Lion, Jean-Baptisqte Pietri et Roland Carta, les quatre architectes de Constructa, ont conçu quatre bâtiments siglés « développement durable », abritant bureaux, logements de standing et boutiques. Ils ont notamment élaboré des jardins suspendus, et équipé les façades de panneaux solaires. Le résultat est futuriste et grandiose, donnant une véritable identité à la cité phocéenne.
  • Autour de la transformation des Docks de Marseille, c’est toute la ville qui est en pleine mutation. Une place importante a été accordée au bien-être des habitants, qui passe par l’installation de nombreux espaces verts. Dans cette cour intérieure, un mur végétal attire le regard des promeneurs.
  • Animés le jour comme la nuit, les nouveaux Docks de Marseille accueillent les gourmands dans de nombreux restaurants, avec terrasses ombragées, pour profiter en douceur de l’air marin.
  • La place de la Méditerranée est un lieu de divertissement et de culture qui accueille le théâtre de la Minoterie et Cœur Méditerranée, un bâtiment équipé de panneaux solaires produisant 40 % de la consommation d’eau chaude des deux hôtels qui l’occupent.
  • Vieux de plus d’un siècle et demi, les nouveaux Docks de Marseille ne perdent pas leur caractère fortement historique et symbolique. Ils font toujours partie intégrante de la ville, occupant une place centrale dans la vie des habitants. L’ouverture sur la mer, le port et le quai en font un véritable lieu d’échanges et de rencontres, invitant à la détente et à la découverte. (Façade nord)
  • Le projet de transformation de la Capitale Européenne de la Culture 2013 a été confié à Constructa, un concepteur moderne, dont les réalisations ont une allure festive et futuriste. L’occasion d’inscrire Marseille en tant que métropole européenne créative, au rayonnement international.
  • Les Docks de Marseille sont divisés en trois parties : le Port, le Village et le Marché. Ce dernier s’étend sur 4 250 m², où des librairies, des galeries d’art, et plus de 80 boutiques côtoient une immense halle de 1000 m², regorgeant de produits régionaux.
  • Après avoir été transformés en immeubles en 1991, les Docks de Marseille sont acquis en 2007 par Constructa et JP Morgan Asset Management afin d’être entièrement repensés. Après six ans de travaux et plus de 50 millions d’euros investis, les Docks de Marseille réouvrent leurs portes en 2013. (Façade sud)
  • A l’origine, les Docks de Marseille sont un ensemble de cinq bâtiments dont l’architecture peut faire penser à une horloge industrielle : les 365 mètres de long symbolisent les 365 jours de l’année, les 56 portes pour les 52 semaines, et les 4 cours font référence aux 4 saisons. En 2013, ils font peau neuve : les Docks de Marseille renaissent au moment où la ville est intronisée pour une année « Capitale Européenne de la Culture ». (Façade ouest)
  • Le projet de transformation de la cité phocéenne s’appuie sur le concept de développement durable. Au lieu d’utiliser des friches naturelles vierges pour bâtir de nouvelles constructions, les architectes construisent « la ville sur la ville », et les espaces sont utilisés au maximum. Cela a d’ailleurs valu au projet le label « Eco cité ».