Les « archi-natures » de Vincent Callebaut

Depuis une dizaine d’années, ce jeune architecte et urbaniste d’origine belge imagine des bâtiments futuristes et des éco-quartiers qui réinventent la ville. Son influence est internationale.

Le Coral Reef, à Port-au-Prince, Haiti, à l’imitation d’un récif de corail, dessine une barrière de 1000 maisons passives préfabriquées réalisées à partir d’un unique module de base standardisé auto-suffisant en énergie pour reloger les réfugiés des catastrophes humanitaires.

Un esprit visionnaire du XXIème siècle

Il possède la poésie de Jules Verne et l’imagination de Léonard de Vinci. Enfant, passionné par la nature, il voulait être horticulteur et construisait des cabanes dans les arbres. Ses rêves sont devenus réalité : avec la collaboration de scientifiques et d’ingénieurs, il croise les savoirs pour faire sortir le monde de la crise écologique et ré-enchante la ville qui accueillera, dans un peu plus de 30 ans, 70 % de la population mondiale. Avec Vincent Callebaut, nous plongeons dans l’architecture des années 2050, voire 2065. Ses projets visionnaires, mais pas utopistes, ont beaucoup de succès dans les pays émergeants et en Asie. Plusieurs sont en cours d’élaboration…Mais c’est aussi le Jean Prouvé du nouveau millénaire qui imagine des logements pour héberger les rescapés des catastrophes naturelles…sur des nénuphars, le meilleur système flottant de la planète. Et lorsqu’il construit une tour, elle prend la forme d’une aile de libellule. L’architecture biomimétiste de Vincent Callebaut ne fait pas table rase du passé comme dans le projet de la Citta della Scienza, à Rome, écosystème urbain inspiré du Land Art qui utilise les racines du lieu existant. De même, dans son projet de Paris 2050, il ne prévoit pas de démolir les immeubles haussmanniens énergivores mais de les coiffer de jardins maraîchers avec des murs transformés en épidermes producteurs d’énergie : “On reconstruit la nature sur la ville et non la ville sur la nature”, explique-t-il. Car l’architecte Vincent Callebaut, tout en imaginant des projets dignes d’un film de science-fiction, respecte le site sur lequel il intervient et ses projets tiennent toujours compte du territoire, en conservant le meilleur de chaque époque. Il a même inventé même un nouveau moyen de locomotion, l’Hydrogenase, un aéronef qui vole à une moyenne de 2 000 mètres de haut.  7 fois plus lent qu'un avion, il marquera peut-être l'histoire à venir des transports. Vincent Callebaut croit aussi que les terriens pourraient quitter leur sol pour vivre dans des maisons amphibies et devenir des…merriens.

Dragongly à Manhattan (New-York)  réinvente le concept de la tour. Ces fermes verticales auto-suffisantes sont composées de deux tours de 132 étages et de 575 mètres de haut en forme d’ailes de libellules en verre et acier, reliées entre elles par une grande serre bioclimatique avec jardins potagers et bassins de viviculture…
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Dragongly à Manhattan (New-York) réinvente le concept de la tour. Ces fermes verticales auto-suffisantes sont composées de deux tours de 132 étages et de 575 mètres de haut en forme d’ailes de libellules en verre et acier, reliées entre elles par une grande serre bioclimatique avec jardins potagers et bassins de viviculture…
©Vincent Callebaut Architectures

Le pape du BEPOS et de la chlorophylle

Avec Vincent Callebaut, le calcul au crédit de l’espace humaine est plutôt révélateur. Ses bâtiments à énergie positive sont capables de produire de l’énergie jusqu’à 300 %. Cela fait donc 200 % de plus que nécessaire que l’on peut redistribuer ailleurs. Et si les coûts de construction sont supérieurs de 20 à 30 % par rapport à des bâtiments traditionnels, cette majoration sera vite récupérée dans les qualités de son architecture durable conçue dans le respect de l'environnement. De ses réalisations découlent des modes de vie éco-responsables que l’on peut mettre en œuvre pour améliorer la qualité de vie des citadins. Ses bâtiments à énergie positive, intégrant les énergies renouvelables et l’agriculture urbaine, exploitent le concept du bioclimatisme passif, avec notamment des toits solaires et photovoltaïques posés sur des bâtiments à forte énergie thermique et dotés de façades intelligentes. Il a même inventé de nouvelles sources d’énergie avec des cellules bioluminescentes qui s’inspirent des celles des lucioles ou des méduses. Le but premier et commun de tous les projets de Vincent Callebaut est de mettre l’agriculture au cœur des villes dans des jardins comestibles. Et dans ce monde de demain, la ville deviendrait pédestre, les fermes et terres maraîchères occuperaient les boulevards périphériques. On pourrait vivre et travailler au même endroit et réduire ainsi la nuisance, le coût et le temps  des transports. Mais la nature en tant que mère nourricière n’est pas le seul axe de sa réflexion. La végétation est aussi utilisée pour capturer les dioxydes de carbone qui polluent les villes. Et les formes naturelles et organiques inspirent encore et toujours l’esthétique de ses bâtiments.

La structure flottante de Lilypad est directement inspirée de la grande plante aquatique de la famille des Nymphéas, l’Amazonia Victoria Regia, augmentée 250 fois. Sa double peau est faite de fibres de polyester recouvertes d’une couche de dioxide de titane qui, en réagissant aux rayons ultraviolets, permet d’absorber la pollution atmosphérique par effet photocatalytique. Entièrement autosuffisante, Lilypad reprend les quatre principaux défis lancés par l'OCDE en mars 2008: climat, biodiversité, eau et sant
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La structure flottante de Lilypad est directement inspirée de la grande plante aquatique de la famille des Nymphéas, l’Amazonia Victoria Regia, augmentée 250 fois. Sa double peau est faite de fibres de polyester recouvertes d’une couche de dioxide de titane qui, en réagissant aux rayons ultraviolets, permet d’absorber la pollution atmosphérique par effet photocatalytique. Entièrement autosuffisante, Lilypad reprend les quatre principaux défis lancés par l'OCDE en mars 2008: climat, biodiversité, eau et sant
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Des espaces modulables

Une constante dans la planification des espaces intérieurs imaginés par Vincent Callebaut, c’est leur flexibilité. Elle est notamment mise en œuvre dans un principe de planchers surélevés pré-installés avec la plomberie, le chauffage, la ventilation, la climatisation (CVC) et toutes les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NICT). Et il a adapté l’architecture intérieure alvéolaire de la ruche pour doubler la surface habitable des logements. Quant à l’utilisation des matériaux biosourcés recyclés et / ou recyclables selon les normes « du berceau au berceau », elle est bien entendu préconisée. Et dans plus de ses 50 projets déjà étudiés qui nous ré-apprennent à rêver, en voici 18 parmi les plus époustouflants et réalisables !

Baptisés Flavours Orchard, ces orques d’arômes situés à Kumming dans la province du Yunnan en Chine composent 45 villas énergétiques BEPOS dans un immense jardin communautaire de vergers gastronomiques intégrant un Smart Grid autogéré par les jardiniers-habitants et les participants au projet. Elles sont subdivisés en trois typologies, dont 15 villas dites “Mountain” qui s’ouvrent à 180 degrés pour suivre le chemin du soleil.
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Baptisés Flavours Orchard, ces orques d’arômes situés à Kumming dans la province du Yunnan en Chine composent 45 villas énergétiques BEPOS dans un immense jardin communautaire de vergers gastronomiques intégrant un Smart Grid autogéré par les jardiniers-habitants et les participants au projet. Elles sont subdivisés en trois typologies, dont 15 villas dites “Mountain” qui s’ouvrent à 180 degrés pour suivre le chemin du soleil.
©Vincent Callebaut Architectures

Contact :
Vincent Callebaut

2, rue de la Roquette
75011 Paris
Tél. : 01 43 43 08 56
Mail : vincent@callebaut.org
www.vincent.callebaut.org

Les aéronefs de l’Hydrogénase, capables de générer de l’électricité et des biocarburants sans émettre de CO² à partir des algues, proposent un nouveau moyen de locomotion totalement écologique.
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Les aéronefs de l’Hydrogénase, capables de générer de l’électricité et des biocarburants sans émettre de CO² à partir des algues, proposent un nouveau moyen de locomotion totalement écologique.
©Vincent Callebaut Architectures

Ensemble des villas Flavours Orchard à Kumming Rubans sans fin dit “Mobius”, villas “Shell” et villas “Mountain” découpent en 3 éco-districts ce village communautaire imaginées dans la province du Yunnan en Chine.
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Ensemble des villas Flavours Orchard à Kumming Rubans sans fin dit “Mobius”, villas “Shell” et villas “Mountain” découpent en 3 éco-districts ce village communautaire imaginées dans la province du Yunnan en Chine.
©Vincent Callebaut Architectures

L’Hydrogénase est un moyen de transport du futur et l’un des premiers projets de bio-mimétisme qui s'inspire de la beauté et des formes de la nature, des qualités de ses matériaux et de ses processus d'auto-fabrication. Ces aéronefs du futur utilisent des biocarburants dits de troisième génération à base d’algues.
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L’Hydrogénase est un moyen de transport du futur et l’un des premiers projets de bio-mimétisme qui s'inspire de la beauté et des formes de la nature, des qualités de ses matériaux et de ses processus d'auto-fabrication. Ces aéronefs du futur utilisent des biocarburants dits de troisième génération à base d’algues.
©Vincent Callebaut Architectures

Le complexe Kings Forest à Fez, au Maroc propose des maisons de repos et 3 typologies de chalets, dont le concept VIP Leaf développé horizontalement comme une feuille qui croit dans la clairière, en porte-à-faux au-dessus du paysage. Dans ces trois chalets, les résidants ont le sentiment d'être seuls, sur la proue d'un navire, face au grand spectacle de la nature et des montagnes.
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Le complexe Kings Forest à Fez, au Maroc propose des maisons de repos et 3 typologies de chalets, dont le concept VIP Leaf développé horizontalement comme une feuille qui croit dans la clairière, en porte-à-faux au-dessus du paysage. Dans ces trois chalets, les résidants ont le sentiment d'être seuls, sur la proue d'un navire, face au grand spectacle de la nature et des montagnes.
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Les Hyperions, à New-Dehli, en Inde forment un ensemble de six tours polyvalentes en bois accueillant des bureaux, des logements, des systèmes d’agroécologie, d’agroforesterie, de permaculture, d’aquaponique, d'agriculture urbaine.
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Les Hyperions, à New-Dehli, en Inde forment un ensemble de six tours polyvalentes en bois accueillant des bureaux, des logements, des systèmes d’agroécologie, d’agroforesterie, de permaculture, d’aquaponique, d'agriculture urbaine.
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L’Ecopolis flottant Lilypad à Monaco est destiné à accueillir les réfugiés climatiques. Il compose une véritable ville semi-aquatique et semi-terrestre amphibie, capable d’héberger 50 000 habitants et invitant la biodiversité à développer sa faune et sa flore autour d'une lagune centrale d'eau douce qui collecte et purifie les eaux pluviales.
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L’Ecopolis flottant Lilypad à Monaco est destiné à accueillir les réfugiés climatiques. Il compose une véritable ville semi-aquatique et semi-terrestre amphibie, capable d’héberger 50 000 habitants et invitant la biodiversité à développer sa faune et sa flore autour d'une lagune centrale d'eau douce qui collecte et purifie les eaux pluviales.
©Vincent Callebaut Architectures

Le projet Paris Smart City 2050 se compose de 8 prototypes de tours mixtes  conçues pour lutter contre le changement climatique. Ce travail de recherche et de développement réalisé pour la Mairie de Paris vise l'intégration de bâtiments de grande hauteur BEPOS pour lutter contre la chaleur urbaine tout en augmentant la densité de la ville à long terme. Ces tours rapatrient la nature au cœur de la ville et intègrent dans leur conception des énergies renouvelables et recyclables grâce à des systèmes innovants
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Le projet Paris Smart City 2050 se compose de 8 prototypes de tours mixtes conçues pour lutter contre le changement climatique. Ce travail de recherche et de développement réalisé pour la Mairie de Paris vise l'intégration de bâtiments de grande hauteur BEPOS pour lutter contre la chaleur urbaine tout en augmentant la densité de la ville à long terme. Ces tours rapatrient la nature au cœur de la ville et intègrent dans leur conception des énergies renouvelables et recyclables grâce à des systèmes innovants
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Les tours du projet Paris Smart city 2050  sont conçues pour être construites dans différents quartiers de Paris. Ici, les Farmscrapers Towers, dans le 19ème arrondissement à la Porte d'Aubervilliers, qui composeront une ferme verticale, ramenant la campagne au cœur de la ville.
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Les tours du projet Paris Smart city 2050 sont conçues pour être construites dans différents quartiers de Paris. Ici, les Farmscrapers Towers, dans le 19ème arrondissement à la Porte d'Aubervilliers, qui composeront une ferme verticale, ramenant la campagne au cœur de la ville.
©Vincent Callebaut Architectures

Physalia naviguera peut-être un jour sur la Seine. Cette station d’épuration flottante des voies navigables en Europe a la vocation de rendre l’eau des fleuves et des rivières potables.
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Physalia naviguera peut-être un jour sur la Seine. Cette station d’épuration flottante des voies navigables en Europe a la vocation de rendre l’eau des fleuves et des rivières potables.
©Vincent Callebaut Architectures

A Fès, au Maroc, dans la forêt peuplée de rares cèdres de 400 ans, les 4 chalets Nest Kings Forest font partie d’un complexe de maisons de repos permettant de vivre des journées entières dans les arbres et de dormir dans un nid comme un oiseau.
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A Fès, au Maroc, dans la forêt peuplée de rares cèdres de 400 ans, les 4 chalets Nest Kings Forest font partie d’un complexe de maisons de repos permettant de vivre des journées entières dans les arbres et de dormir dans un nid comme un oiseau.
©Vincent Callebaut Architectures

La résidence The Gate Heliopolis, imaginée au Caire, en Egypte, est organisée autour d'une rue centrale appelée «le boulevard» telle la colonne vertébrale de ce projet de logements. Les 1000 appartements sont organisés dans des bâtiments réguliers rectangulaires, avec des formes en «U», attachées à la rue centrale. Le chantier en cours devrait être terminé en 2019.
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La résidence The Gate Heliopolis, imaginée au Caire, en Egypte, est organisée autour d'une rue centrale appelée «le boulevard» telle la colonne vertébrale de ce projet de logements. Les 1000 appartements sont organisés dans des bâtiments réguliers rectangulaires, avec des formes en «U», attachées à la rue centrale. Le chantier en cours devrait être terminé en 2019.
©Vincent Callebaut Architectures

Le centre culturel de la ville de Taichung Swallow’s Net, situé dans l’île de Taiwan forme un anneau tridimensionnel de Moebius. Ouvert sur le parc de Gateway, c’est un bâtiment éco-conçu à partir des règles bioclimatiques, des énergies renouvelables et des technologies de pointe de l’Information et de la Communication.
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Le centre culturel de la ville de Taichung Swallow’s Net, situé dans l’île de Taiwan forme un anneau tridimensionnel de Moebius. Ouvert sur le parc de Gateway, c’est un bâtiment éco-conçu à partir des règles bioclimatiques, des énergies renouvelables et des technologies de pointe de l’Information et de la Communication.
©Vincent Callebaut Architectures

La tour verte Tao Zhu Garden, à Taipei. Situé à Taiwan et en cours de finalisation, ce complexe résidentiel qui absorbe le carbone, sera recouvert de 23 000 arbres. Sa forme, en double hélice tournant à 90 degrés, est inspirée par celle d’un brin d’ADN.
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La tour verte Tao Zhu Garden, à Taipei. Situé à Taiwan et en cours de finalisation, ce complexe résidentiel qui absorbe le carbone, sera recouvert de 23 000 arbres. Sa forme, en double hélice tournant à 90 degrés, est inspirée par celle d’un brin d’ADN.
©Vincent Callebaut Architectures

Le village Aequorea, au large de la côte de Rio de Janeiro, revisite le thème de la cité marine : la forme des bâtiments flottants est inspirée des méduses et les matériaux  imprimés 3D sont composés d’algoplast, un mélange d’algues et de déchets du 7ème continent, un amas de rebuts plastiques situé dans le Pacifique Nord.
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Le village Aequorea, au large de la côte de Rio de Janeiro, revisite le thème de la cité marine : la forme des bâtiments flottants est inspirée des méduses et les matériaux imprimés 3D sont composés d’algoplast, un mélange d’algues et de déchets du 7ème continent, un amas de rebuts plastiques situé dans le Pacifique Nord.
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Le projet non retenu de la Bionic Arch sur l’île de Taïwan consistait en une tour verte plus élevée que la montagne de Dadu. Conçue comme un arc bionique, elle intègre toutes les technologies durables. Son design présente une géométrie aérodynamique inspirée de la nature dans l'axe des vents dominants et offre du haut de ses 380 mètres, une vue panoramique sur le détroit de Taïwan et le port de Taichung.
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Le projet non retenu de la Bionic Arch sur l’île de Taïwan consistait en une tour verte plus élevée que la montagne de Dadu. Conçue comme un arc bionique, elle intègre toutes les technologies durables. Son design présente une géométrie aérodynamique inspirée de la nature dans l'axe des vents dominants et offre du haut de ses 380 mètres, une vue panoramique sur le détroit de Taïwan et le port de Taichung.
©Vincent Callebaut Architectures

Métamorphose fleurie du Centre Botanique à Bruxelles, construit en 1977, pour mettre en relief sa situation proche du jardin botanique. Au sommet de ces 274 anciens modules en béton, une "Chrysalide" en bois et en acier déploie ses courbes pour offrir une vue panoramique aux locataires et aux visiteurs, tout en faisant écho à la grande voile circulaire conçu par Xaveer De Geyter qui couvre maintenant la place Rogier, située à proximité.
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Métamorphose fleurie du Centre Botanique à Bruxelles, construit en 1977, pour mettre en relief sa situation proche du jardin botanique. Au sommet de ces 274 anciens modules en béton, une "Chrysalide" en bois et en acier déploie ses courbes pour offrir une vue panoramique aux locataires et aux visiteurs, tout en faisant écho à la grande voile circulaire conçu par Xaveer De Geyter qui couvre maintenant la place Rogier, située à proximité.
©Vincent Callebaut Architectures

Dans le cadre du projet de la Citta della Scienza, à Rome, les avenues existantes bordées d'arbres sont conservées, comme des empreintes digitales du passé, et les enveloppes des bâtiments industriels préexistants sont transformées en magnifiques lofts. La plupart des résidences et des espaces commerciaux sont alignés le long du bord du site pour donner forme et cohérence au grand bloc d'origine.
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Dans le cadre du projet de la Citta della Scienza, à Rome, les avenues existantes bordées d'arbres sont conservées, comme des empreintes digitales du passé, et les enveloppes des bâtiments industriels préexistants sont transformées en magnifiques lofts. La plupart des résidences et des espaces commerciaux sont alignés le long du bord du site pour donner forme et cohérence au grand bloc d'origine.
©Vincent Callebaut Architectures

Article publié le 13 juillet 2017

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