Une décoration aux pays des merveilles de Tim Burton

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A l’honneur à la Cinémathèque de Paris, le réalisateur Tim Burton envahit l’architecture intérieure, où son univers créatif devient une source d’inspiration, pour créer une atmosphère fantasmagorique.

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Avec ses huit longues pattes, la chaise « Ragno » du designer Erik Griffioen rappelle les premiers films Batman de Tim Burton. Réalisée en métal, elle tend à faire frémir les plus courageux, qui oseront s’asseoir sur son siège.

Avec ses huit longues pattes, la chaise « Ragno » du designer Erik Griffioen rappelle les premiers films Batman de Tim Burton. Réalisée en métal, elle tend à faire frémir les plus courageux, qui oseront s’asseoir sur son siège.

©DR
  • Déclinant le célèbre château de carte, Seletti propose une collection modulable « A La Carte », qui permet de construire son meuble à partir d’un schéma de base, laissant libre cours à l’imagination pour créer l’étagère de ses rêves.
  • Issu de matériaux de recyclages tels que les canettes de bière des rues newyorkaise, les papillons de Paul Vilinski se posent sur un mur, pour s’assembler dans un mouvement tridimensionnel envoûtant et magique.
  • Lorsque la lumière frappe « The Hamlet Dilemma », la surface brille de mille feux, dans une exacerbation dramatique digne d’un film de Tim Burton. Ce pur objet de décoration vous permettra de jouer à être ou ne pas être ? Tel est la question.
  • Inspiré par le mobilier de Louis XVI, cette commode « Karl » de Maison du Monde s’orne de rayures en noir et blanc, à l’image du costume de Jack. En bois brut, elle apporte une certaine élégance, comme un joli clin d’œil à l’univers burtonien.
  • L’accumulation des vingt abat-jours en lin de la suspension « Antoinette » de Maison du Monde ose la surenchère, sans faire fi d’une certaine élégance, incarnée par le délicat jeu des volutes de la structure au blanc éclatant.
  • Le concept de lumière « Blub » est le résultat des recherches de Pieke Bergmans, afin de donner toutes les formes et toute les tailles à une série de lampes en cristal, offrant l’impression d’une matière vivante et dégoulinante.
  • S’amusant avec le mouvement de son mobilier, Vincent Leman crée le Wine Rack n°1 avec humour. Si vous vous mettez à voir ce bar à vin droit, alors vous avez certainement un peu trop forcé sur la bouteille.
  • Miroir, mon beau miroir … Le Mirror n°5 de Dust Furniture est conçu dans la longueur, afin de créer une impression de mystère, auréolée par le cadre en bouleau reprenant la forme d’un trou de serrure stylisé.
  • Le temps ! Le temps ! Qu’est-ce que le temps ? L’horloge Clock n°2 de Dust Furniture prend une forme abstraite, dont le châssis est en bouleau peint. N’hésitez pas à multiplier un même modèle, dans une esthétique de l’accumulation.
  • Avec ses huit longues pattes, la chaise « Ragno » du designer Erik Griffioen rappelle les premiers films Batman de Tim Burton. Réalisée en métal, elle tend à faire frémir les plus courageux, qui oseront s’asseoir sur son siège.
  • Comme le dit l’expression, c’est l’arbre qui cache la forêt. Avec le sticker « Timber » de Ferm Living pour Goodobject décore un mur dans un esprit symbolique, permettant de donner une impression mystérieuse.
  • Avec ses lignes droites et graphiques en noir et blanc, le papier peint « Vertigo » de Ferm Living pour Goodobject reprend le motif du costume du célèbre personnage du L’Etrange Noel de Monsieur Jack.
  • Dans Charlie et la chocolaterie, qui pourrait résister devant les sucreries de Mr Willy Wonka ? Avec ces coussins « Bonbon » d’Annabel Kern, le canapé devient un lieu plein de gourmandises à étreindre entre ses bras.
  • Pour grandir Alice doit manger l’un des côtés du champignon. Afin de décorer la chambre d’enfant, ce « Champignon Géant » d’Annabel Kern est une véritable invitation à découvrir le monde fantastique de Tim Burton.
  • S’enveloppant autour d’une structure en bois de chaise haute, les papillons de Paul Vilinski prennent de la hauteur dans une dance, où la délicatesse de la bête apporte une intensité émotionnelle pleine de grâce.
  • Comme sortant du trou noirci de la structure d’un violon, les papillons de Paul Vilinski s’envolent dans une composition de volutes, emprunte d’une poésie qui invite à une rêverie mélancolique. Une belle référence aux Noces Funèbres.
  • Les meubles se prennent pour des acrobates avec le « Together We Can » de Vincent Leman pour Dust Furniture. Conçu autour de trois éléments, l’ensemble prend de la hauteur, dans un équilibre précaire emprunt de poésie.
  • Evocation d’une tortueuse forêt, le Coat Tree n°1 de Dust Furniture est une véritable sculpture réalisée par Vincent Leman. A nu, il se suffit à lui-même pour décorer une pièce, mais peut servir de porte-manteaux à l’occasion.
  • Obnubilé par le temps, le lapin d’Alice serait ravi avec cette horloge Clock n°1 de Dust Furniture, dont les trois éléments traditionnels semblent dangereusement empiler. Conçu par Vincent Leman, elle est aménagée de tiroirs et placards pour le rangement.
  • En pin massif, le fauteuil « Carrosse » de Maison du Monde se déploie dans la hauteur, pour créer un cocon en velours noir muni de LEDS, qui s’illumine lorsque la pénombre envahit la pièce.
  • « L’Assemblage Tricot » de Seletti permet de s’amuser à assembler les dix modules disponibles, à l’image d’un jeu Lego selon les envies et besoins de chacun. Le fond de chaque élément présent un décor différent, ou le filagramme se voit en transparence.
  • Issu de la collaboration entre le Studio Job et Pieke Bergmans, le concept « Wonderlamp » voit l’alliance entre les formes monumentales des objets en bronze et le travail du cristal soufflé, pour réaliser des lampes pleines de mystères.
  • Donnant l’impression d’objets sortis d’un monde imaginaire, les réalisations de la collection « Wonderlamp » s’auréole de surréalisme, à l’image de l’esthétique de Tim Burton offrant une nouvelle approche sensible de la lumière.