• Création de Rémi Perret autour des matériaux de récupération et géométrie libre pour cette tête de lit inventive qui offre de nombreux rangements. Il s’agit de l’une des quatre pièces uniques réalisées exclusivement pour l’Hôtel L’Antoine et composées d’un patchwork de panneaux de bois. Les vestiaires métalliques rouges et les panneaux de signalisation industriels donnent une touche pop à l’ensemble.
  • Esprit contemporain au second étage. Couleurs vives et électriques contrastant avec le noir et blanc.
  • Création du designer-plasticien Rémi Perret, l’un des 23 chevets sur pieds, fabriqués spécialement pour l’Hôtel L’Antoine. Il s’agit d’une sorte de micro architecture lumineuse qui utilise notamment des petits jouets. Avec son lapin contemplatif, ce mobilier offre une échelle de maison de poupée.
  • Derrière le comptoir, un assemblage de divers volumes en bois, se détache une grande fresque abstraite aux couleurs vives. Quant au sol, il est composé d’un patchwork de carreaux
à motifs anciens et divers trompe-l’œil de parquets.
  • Chambre du second étage qui décline l’esprit de modernité selon Christian Lacroix.
  • Les murs des salles de bains du premier étage sont entièrement recouverts de « carreaux métro » argentés.
  • Au premier étage, un esprit très actuel : murs clairs, sol souple technique anthracite et style plutôt minimaliste d’inspiration écolo. Rideaux de toile naturelle et meubles spécialement créés par le designer-plasticien Rémi Perret à partir d'éléments de récupération.
Les murs des chambres sont tapissés de bois ou de plaques moulurées XIXème en trompe-l'œil.
  • Dès l’entrée, le lobby résume, avec la salle de petit déjeuner et la « boutique » toutes les ambiances que l’on retrouvera dans les différents niveaux. Se mêlent les différents styles de mobiliers et les revêtements muraux auxquels s’ajoutent, pour l’histoire, une carte XVIIIème siècle représentant le quartier et des trompe-l’œil de moulures, des murs-miroirs pour théâtraliser les espaces, des éléments de bibliothèque, des paravents de grillage…
  • Dans une chambre du second étage, chevet ludique réalisé par Rémi Perret.
  • Ambiance atelier d’artiste pour cette chambre du quatrième étage qui offre un sol en trompe l’œil de plancher ancien et des murs avec un effet de brique. Rayures matelas pour les rideaux. Dominance de couleurs ocre et béton, grande fresque abstraite et motif kilim en partie basse.
  • Les salles de bains sont tapissées, sols et murs, de carreaux ciment aux motifs géométriques bicolores.
  • L'esprit du second étage, aux circulations de moquette fuchsia fluo et aux murs recouverts de béton, s'inspire plutôt des galeries d'art contemporain qui marquèrent une des renaissances du quartier.
Les murs, en trompe-l'œil de béton ou de bois, contrastent
avec le velours « ancien » des rideaux couleur pourpre et un sol souple jaune citron. Des fresques patchworks avec superposition de photos noir et blanc et surimpression de motifs graphiques évoquent un appartement bourgeois.
  • Au troisième, les salles de bains sont tapissées de motifs XIXème sur carreaux ciment. Dans la chambre, les rayures classiques bicolores et graphiques du papier-peint cohabitent avec les fleurs tissées monochromes des rideaux.
  • Au troisième étage, les chambres rendent hommage aux ateliers d’ébénistes traditionnels et aux métiers du meuble qui ont fait la spécialité et la notoriété du Faubourg Saint-Antoine. Le décor, plus conventionnel, décline les fleurs unies et ton sur ton sur les rideaux, le canapé, le paravent et les murs, associées à un mobilier romantique. Au sol, une moquette beige à poils longs et, au mur, un panorama évoquant les créations de Zuber.
  • Les murs des salles de bains sont recouverts de carreaux ciment à motif de rosaces.
  • Décor complet d’une chambre, avec salle de bains, située au cinquième étage. Le couloir de circulation et la porte sont tapissés d’un papier trompe-l’œil. Motif patchwork de lattes bleues, blanches et naturelles pour les murs, et effet de boiseries sculptées pour la porte.
  • Les luminaires évoquent aussi les années 1950 et le noir très à la mode dans ce domaine.
  • Esprit Balajo, avec une photo XXL, comme un panorama, en noir et blanc, qui évoque les lumières des lampions des guinguettes d’antan.
  • Au cinquième étage, les chambres sont tapissées avec un papier peint illustré de personnages d’époque, qui se coordonne avec un autre motif arlequin et aux rayures des rideaux, déclinées en plusieurs harmonies.