Ligne Roset révèle le talent de Marie Dessuant

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Première femme à recevoir le prix Cinna en 2010, la designer française Marie Dessuant collabore avec Ligne Roset, en présentant l’« étagère en coin » et le « vide-poche ».

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Dans une réflexion sur les vides et les pleins, Marie Dessuant réalise l’ « étagère en coin », qui permet d’entreposer livres et objets, dans un savant mélange de casiers. Une composition variée qui permet de créer un rythme dynamique.

Dans une réflexion sur les vides et les pleins, Marie Dessuant réalise l’ « étagère en coin », qui permet d’entreposer livres et objets, dans un savant mélange de casiers. Une composition variée qui permet de créer un rythme dynamique.

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  • Dans une réflexion sur les vides et les pleins, Marie Dessuant réalise l’ « étagère en coin », qui permet d’entreposer livres et objets, dans un savant mélange de casiers. Une composition variée qui permet de créer un rythme dynamique.
  • Meuble hybride qui crée un plein pour remplir un vide, l’étagère de Marie Dessuant s’installer dans l’angle d’une pièce. Comme une obsession, les lieux intermédiaires, qui marquent une frontière, enrichissent la créativité de la designer.
  • Dessin qui témoigne des recherches de Marie Dessuant, l’ « étagère en coin » est une fusion entre un meuble de rangement et une échelle. Son unique barreau est une aide ou une invitation à la méditation, selon les envies.
  • Avec la collection Swing-Swung-Swung, Marie Dessuant continue sa collaboration avec Ligne Roset, en proposant une étagère « vide-poche ». Une incarnation de la réunion entre un meuble d’entrée et le contenant sur son dessus.
  • En frêne, les tablettes inférieures permettent le rangement d’objets volumineux, alors que le contenant en tissu reçoit le fouillis des poches. La souplesse de la matière permet de mettre en avant les qualités du textile, dans une recherche de mouvement.
  • Dessin préparatoire de Marie Dessuant, l’étagère « vide-poche » exploite le vide d’une entrée, comme une nouvelle manière d’aborder le mobilier. Un questionnement qui n’impose pas de réponses, pour garder une part de liberté.