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  • Extension latérale d’une maison de ville

    Extension latérale d’une maison de ville

    | Réalisations | Agnès Zamboni

    Dans un tissu urbain serré, les architectes de l’agence THINK TANK ont transformé l’espace et le style d’un petit pavillon de banlieue. Histoire d’une métamorphose en rajoutant seulement quelques m².

  • Extension latérale d’une maison de ville

    Extension latérale d’une maison de ville

    | Réalisations | Agnès Zamboni

    Dans un tissu urbain serré, les architectes de l’agence THINK TANK ont transformé l’espace et le style d’un petit pavillon de banlieue. Histoire d’une métamorphose en rajoutant seulement quelques m².

  • L’extension en L et sa terrasse qui assure la connexion dedans-dehors.
  • La maison est dotée d’une cour végétalisée. Arbustes et plantes forment un écran qui fait disparaître les constructions voisines et protègent ses occupants des indiscrétions.
  • Les occupants profitent désormais d’un nouvel espace de 13,5 m² au cœur de la maison.
  • L’isolation renforcée, associée aux murs et plafonds de verre, maximise le confort intérieur.
  • La finesse des profilés et leur couleur « noir sablé » contribuent à l’effacement des ouvertures. Cette esthétique minimaliste, associée aux traverses horizontales, confère un style contemporain à la bâtisse provençale.
  • L’extension se compose de grandes baies coulissantes Soleal qui prennent appui sur l’avancée de toit de l’ancienne terrasse. Elles ouvrent le salon sur l’extérieur et permettent aux occupants de profiter de la vue sur le jardin, été comme hiver.
  • Habitable tout au long de l’année, la pièce à vivre supplémentaire est dotée d’une toiture plate réalisée sur la base de la véranda Jade de Technal. Le nouveau toit est encastré entre deux toitures sur 3 mètres de large.
  • Dotée d’une toiture intégralement vitrée, l’extension est baignée de lumière naturelle. Elle profite de la couleur unique du ciel bleu de la Provence.
  • Le choix du papier-peint, aux effets irisés très subtils, (“Peacock” de Matthew Williamson pour Osborne & Little) a été déterminant pour l’ambiance générale du salon. Le sol a été entièrement remplacé par un carrelage en grès cérame, imitation parquet bluffant de réalisme (lames de 1,70 m de longueur chez Soleras).
  • Le salon avec sa cheminée modernisée dessine une nouvelle géométrie de l’espace avec des volumes mis en valeur par des touches de gris. Fauteuil, Bo Concept.
  • L’Annexe est dotée d’une extension contemporaine avec toit terrasse. La rambarde en bois brut fait écho aux sols intérieurs et extérieurs de la maison.
  • La cuisine est délimitée, au sol, par un podium. Les différences de niveau permettent à la lumière naturelle de se diffuser de façon optimale à l’intérieur. La crédence en zellige blanc apporte une texture particulière. Le plan de travail en quartz blanc s’accorde avec les meubles et l’îlot recouverts d’un revêtement mélaminé immaculé.
  • Une grande ouverture offre une vue sur la cour et la grande piscine, des deux côtés du nouveau chemin d’accès à la petite barchesse, accolée à la villa.
  • Les éléments naturels, la lumière et l’air jouent une fonction fondamentale dans l’immense piazza elliptique, creusée à 8 mètres de profondeur.
  • Le site de la Fabrica à Trévise intègre une ancienne villa italienne du XVIIème siècle.
  • Le soubassement de l’extension éclairé accentue la sensation de légèreté de la boîte en verre.
  • Un patio-terrasse accueille un salon d’extérieur avec une atmosphère de pièce dedans dehors.
  • L’extension vitrée est construite sur un socle en retrait et en béton comme sa dalle intérieure. Elle s’inscrit parfaitement dans la géométrie de la maison existante. Son volume est allégé par sa position en lévitation au-dessus de la pelouse du jardin.
  • L’éclairage met en évidence un effet répétitif de petites suspensions issu d’un modèle identique.
  • La chambre s’offre une nouvelle vue avec un accès pratique à son dressing qui s’associe à l’armoire avec miroir (Ikea) attenante. Le lit n’a pas changé d’orientation, il a été simplement reculé contre la nouvelle cloison qui intègre une tête de lit intégrée à la cloison avec liseuses d’éclairage et niches de chevet.
  • Les panneaux de tissu acoustique qui recouvrent le nouveau plafond apportent une ambiance feutrée.
  • La nouvelle maison offre une surface totale de 120 m², avec des volumes en double hauteur. Au rez-de-jardin : une belle pièce de vie avec cuisine, largement ouverte sur le jardin et la terrasse, une arrière-cuisine, un atelier, une cave, une salle de bains.
  • Après, une extension contemporaine en béton, métal et verre avec un accès direct à la terrasse. Des toits à une seule pente de facture contemporaine.
  • Les percements de la façade jardin d’origine, avant l’extension des années 1970, sont encore lisibles et ont été volontairement conservés pour retrouver la lecture des strates historiques de la maison et de son évolution.
  • Le sol et les murs en béton brut apportent une note contemporaine.
  • Une partie du terrain a été aplanie pour créer un vrai espace utilisable. La terrasse construite de plain-pied avec le rez-de-chaussée est protégée de la rue par le volume d’extension.
  • L’enveloppe de l’extension est unifiée par une structure englobante qui sert à la fois de structure porteuse, de support pour les protections solaires et de claustra pour se protéger du voisinage.
  • La forme de la maison existante imite le style d’Yves Guillou, une des figures bretonnes de l’architecture contemporaine, décédé en 2004. Ses lignes offrent une géométrie forte avec une toiture qui forme un angle droit en son faîtage.
  • Pour offrir une ouverture qui conserve l’intimité du lieu, l’extension se développe au sud et à l’est. Elle est formée de deux boîtes noires surélevées par rapport au terrain naturel et reliées par une terrasse.
  • La finesse des profilés et leur couleur « noir sablé » contribuent à l’effacement des ouvertures. Cette esthétique minimaliste, associée aux traverses horizontales, confère un style contemporain à la bâtisse provençale.
  • L’extension prolonge ainsi la cuisine-salle à manger sur 4,5 m de profondeur.
  • L’extension se compose de grandes baies coulissantes Soleal qui prennent appui sur l’avancée de toit de l’ancienne terrasse. Elles ouvrent le salon sur l’extérieur et permettent aux occupants de profiter de la vue sur le jardin, été comme hiver.
  • La légèreté de la charpente métallique de l’extension s’ajoute à la transparence des éléments vitrés magnifiant la lumière du Sud qui vient lécher la façade en pierre.
  • Rénovation du bâtiment du XVIIème siècle.
  • L’extension abrite une cuisine aux lignes sobres et géométrisantes qui s’accorde en style et couleurs avec l’enveloppe extérieure de la nouvelle construction. Réalisation de Dank Architectes à Caluire et Cuire, près de Lyon.
  • La terrasse est aménagée devant le pignon toute hauteur et entièrement vitré qui fait entrer la lumière dans l’extension.
  • La ferme traditionnelle a été rénovée dans les règles de l’art ; la grange est habillée de bois breveté Kebony qui apporte une belle unité à la construction.
  • Deux entités bien distinctes combinent à la fois la fonction et la beauté pour créer une maison familiale durable et pittoresque.
  • Projet 6 après : A Boulogne-Billancourt, dessin du projet d’extension de 60 m² avec salon en RDC et suite parentale. Toiture terrasse sur le nouveau volume et une partie de l’existant. Terrasse accessible en R +2. Réalisation du projet d’extension de 60 m² avec salon en RDC et suite parentale. Toiture terrasse sur le nouveau volume et une partie de l’existant. Terrasse accessible en R +2. Budget travaux : 320 000 €.
  • Projet 3 après : à Boulogne-Billancourt, autre version de l’extension de 42 m² avec nouvelle toiture terrasse végétalisée et balcon.
  • Projet 3 avant : à Boulogne-Billancourt, maison d’origine de 150 m² avec jardin existant de 20 m² en fond de parcelle. Après : à Boulogne-Billancourt, transformation surélévation de 42 m² pour création d’une suite parentale et deux balcons végétalisés accessibles en R+ 1 et R + 2. Le volume moderne avec la haute verrière respecte le style de l’existant. Budget travaux : 225 000 €.
  • Projet 2 après : à Paris, dans le 20ème arrondissement, premier projet avec surélévation proposée, puis annulée.
  • Dans la zone de circulation, entre le bâtiment d’origine et l’extension, le côté rustique de la pierre et du bois se marie avec l’esprit industriel brut du béton quartzé et du métal.
  • La maison contemporaine et minimaliste se compose d’un choix restreint de matériaux différents.
  • En cœur de parcelle, la piscine, les terrasses et les jardins trouvent une intériorité entre les chambres, le salon et la grange.
  • L’extension horizontale s’appuie sur la grange existante qui crée l’intimité en limite de voie publique. Ce bâtiment d’origine qui fait écran à la nouvelle construction renferme un atelier et des espaces de stockage.
  • Avec les ondulations à la surface de l'eau environnante, la nouvelle façade reflète l'évolution de la lumière à toute heure du jour et de la nuit. Les facettes triangulaires alternent les surfaces transparentes et opaques, et ont pour effet de contrôler la charge solaire pour garantir un fonctionnement optimal.
  • L’élément neuf le plus visible est constitué d’une extension largement vitrée, « insérée comme une nouvelle aile vers l’Est, en surplombant la berge vers la « Dérivation ».
  • L’extension en verre, acier et béton dessinée par Rudy Ricciotti offre son volume magique, la nuit venue.
  • L’entrée de la maison a été réorganisée car elle se faisait autrefois par la cuisine.
  • L’extension structure le terrain et l’existant. Le procédé du bois brûlé utilisé se rapproche visuellement de la tradition de construction locale des cabanes ostréicoles colorées, peintes avec les restes des peintures marines ou enduites d’une peinture au goudron.
  • L’extension contemporaine en bois brûlé a permis de dissocier et d’articuler les espaces extérieurs, en requalifiant la séquence d’entrée et le rapport au jardin.
  • A l’intérieur, on ne fait plus la différence entre l’ancien et les extensions. Le nouvel espace obtenu est homogène et fluide.
  • La maison est nichée dans un écrin de verdure sur les hauteurs d’un quartier parisien sauvegardé, au pied du cimetière du Père-Lachaise. Invisible à tous, elle se découvre au bout d’un long chemin que seul le promeneur averti peut emprunter.
  • Effet de symétrie : dans la maison d’origine, à droite, on a conservé les deux chambres pour les enfants et la cuisine ouverte sur la salle à manger et la véranda. Dans la nouvelle habitation, une bibliothèque s’inscrit dans le volume de la pièce de vie initiale et une suite parentale dans celui des deux chambres. Une zone de communication identique traverse les deux constructions.
  • Les deux maisons mitoyennes possèdent la même volumétrie et les mêmes dimensions extérieures, mais leur mode de construction est différent.
  • Montée sur pilotis comme une cabane et accrochée au pignon nord-ouest, très long et doté d’une descente de garage, l’extension façon « Plug »dessine un volume iconoclaste travaillé avec un maximum de vide. Elle semble flotter dans l’espace.
  • L’autre extension qui dessine une nouvelle pièce à vivre complètement remaniée. L’entrée de la maison d’origine n’a pas été déplacée.
  • La boîte ou « Plug » qui cache une nouvelle suite parentale. Dans l’ombre, le bloc semble suspendu, car les poteaux qui sont en retrait par rapport à l’élévation disparaissent.
  • Plan de coupe de l’extension qui prolonge l'ancienne maison de meulière pour créer une grande pièce à vivre de 30 m².
  • L’extension offre une toiture terrasse légèrement en pente. Elle dessine une pièce transparente. A l’extérieur, la terrasse a été fabriquée en Ipé imputrescible et l’encadrement de la baie vitrée est habillé avec un bardage de chêne couleur caramel.
  • Une grande faille vitrée du plafond court le long de la façade de l’ancienne maison. Dans le plafond sculpté en pointes de diamant, un éclairage à Leds a été intégré. Il flotte dans l’espace, avec beaucoup de légèreté.
  • On accède à l’extension grâce à un escalier latéral qui n’encombre pas l’espace du premier étage.
  • Plan du rez-de-chaussée : l’ancien garage a été exploité en espace de vie. Ce niveau accueille désormais une cuisine, deux chambres, deux salles de bains, deux toilettes et un espace buanderie.
  • Plan du premier étage : une grande pièce de vie, deux chambres et une salle de bains ont été aménagées. Sur la mezzanine, une grande chambre et des couchages supplémentaires sont installés.
  • La nouvelle terrasse désolidarisée du bâtiment ne crée pas de pont thermique.
  • La maison est habillée d’un bardage réalisé à partir de lames de trois tailles différentes (format standard, 2/3 et moitié). L’essence de Cèdre rouge été choisie pour sa déclinaison naturelle de nuances assez marquée.
  • Dans l’extension, le salon est mis en valeur par un pan de mur bleu ciel. Canapé de style Chesterfield, Flamand, et luminaires en appliques, Jieldé.
  • Projet d’une extension d’une maison individuelle par Playtime Agence d’Architecture (www.lofta.com). Les volumes avec parois miroitantes qui reflètent le jardin ont remplacé un ancien garage démoli.
  • Cette greffe contemporaine, qui tranche sur la maison d’origine, offre une chambre et une salle de bains avec un bloc-meuble faisant office de penderie et bureau au rez-de-chaussée. Les propriétaires retraités souhaitaient avoir un espace de vie de plain-pied sans changer de quartier ni déménager. Réalisation de l’architecte Audrey Jacquinot, Egg Architecture (www.egg-architecture.fr).
  • Les lignes droites, simples et épurées des annexes, rentrent en dialogue avec l’architecture existante restée intacte.
  • Plan rez de chaussée: au rez-de-chaussée, l’extension offre un coin piano une salle à manger connectée à un séjour-salon en pleine lumière. La cuisine est ouverte sur la pièce-à-vivre. L’arrière-cuisine et le garage sont enveloppés dans des murs opaques. Quant à la maison d’origine, elle offre une suite chambre parentale. Un nouveau hall d’entrée assure la liaison entre les deux constructions.
  • Les espaces en enfilade développent une grande pièce-à-vivre.
  • L’extension, sur deux niveaux, mixe vitrage et bardage Naturalis blanc (Eternit).
  • Les lignes géométriques de l’extension ne rentrent pas en conflit avec l’enveloppe de la maison existante. Elles l’entourent avec une modernité élégante.
  • L’extension joue la carte de la transparence et cadre des vues sur le paysage environnant. Ses lignes graphiques sont en connexion avec celles brisées de la toiture. Le bâtiment joue la carte de l’abstraction géométrique. L’extension s’étire avec des terrasses en prolongement.
  • Cette extension de maison de campagne en bois de contreplaqué protégé par un goudron de pin noir, abrite, au rez-de-chaussée, un garage. Ouverte sur trois côtés, comme un observatoire, elle offre des vues sur le paysage changeant de la Normandie. Réalisation Antonin Ziegler.
  • A Fécamp, extension sur mer par Antonin Ziegler Architecte. Agrandir un espace de vie, créer un lieu inspirant face à la mer, tels étaient les enjeux de ce projet atypique. La solution fut de créer une extension à l’image d’un observatoire à trois pans vitrés.
  • Grande extension de 85 m² dans un quartier résidentiel de Montmorency : bardage en tôle laquée, structure en métal, baies vitrées en aluminium, toiture végétalisée, terrasse en bois composite. Réalisation de l’architecte Francesca De Marchi pour www.nimarchitecture.fr
  • Extension de 45 m² devant un pavillon des années entre deux guerres à Saint-Maur des Fossés : bardage en zinc noir anthracite, mur en parpaings, toiture avec charpente en bois, baies en aluminium, terrasse en bois composite. Réalisation de l’architecte Francesca De Marchi pour www.nimarchitecture.fr
  • Cette extension de maison largement ouverte sur le jardin accueille un séjour de 35 m² ainsi qu’un accès de service différencié agrandissant le rez-de-chaussée trop exigu à l’origine. Le volume en « ailes de papillon » se plie aux règles du POS. Réalisation de l’architecte Catherine Leman (catherine.lemandecker@9business.fr)
  • Réhabilitation et de l’extension-surélévation d’une petite maison. L’objectif étant d’agrandir la maison tout en préservant les arbres existants et de l’ouvrir sur ses deux jardins sud et nord. Ce volume sobre est réalisé en ossature bois habillé de zinc noir, réchauffé par le volet coulissant en lames de Douglas. Une petite extension au nord surmontée d’une surélévation accueillant les chambres et une salle d’eau constitue le deuxième volume rajouté à la maison. Réalisation de l’architecte Fabienne Briquet
  • Avant, une maison dotée d’une extension disgracieuse et d’une verrière vétuste. Après, une maison avec extension en bois massif non traité (Douglas, Red Cedar…), ouverte à la lumière qui profite au coin repas en bout de cuisine, un agrandissement de cet espace sans création de surface au sol et une amélioration thermique de la façade. Réalisation Gaëlic Le Guillerm pour le Cabinet d’Architecture Archigraph.
  • Extension réalisée sur une maison constituée d'un sous-sol semi enterré. Les espaces de vie du rez-de-chaussée sont agrandis et ouverts sur le jardin situé 1m40 en contrebas, à mi-niveau avec le sous-sol. La cuisine est réimplantée dans l’extension, de plain-pied avec le jardin et bénéficiant d’une vaste terrasse extérieure. La mise en place d’une large verrière et de grandes façades vitrées a également permis de faire pénétrer la lumière. Réalisation de l’agence d’architecture Philippe Bourillet.
  • La surélévation dessine un cube qui fait écho au volume trapu de la maison principale.
  • Plantée en plein cœur de la végétation et rattachée à une orangerie du XVIIIème, cette maison conçue comme « un village de tours » accueille 5 entités cubiques revêtues de pierre de Cadaquès. Une pour les parents, et une pour chaque enfant. Une isolation thermique performante a été prévue pour réaliser des économies de chauffage. Création Christian Pottgiesser, Architectures Possibles [Christian Pottgiesser], Maison L à Louveciennes (78), 2011.
  • Cette extension, toute en hauteur, d’un pavillon existant offre un étage à chacun des 3 enfants de la famille. Sa façade abritée par un toit en débord est animée par un système de gouttière empruntée au shishiodoshi (fontaine japonaise à bascule dans laquelle s’écoule l’eau de pluie). Construite en ossature bois, elle est équipée d’une chaudière à condensation. Création Avignon-Clouet Architectes [Benjamin Avignon + Saweta Clouet], Maison Shishiodoshi à Rezé (44), 2010.
  • L’ensemble de la surélévation est traité à l’identique de l’existant, en enduit blanc. Des volets coulissants en bois viennent rappeler le bardage de l’extension en red cedar.
  • Le colombage peut aussi être utilisé pour une extension de maison et en architecture intérieure, par exemple pour séparer une pièce ; cela s’adapte très bien aux intérieurs contemporains.
  • L’éclairage naturel ou artificiel a été une priorité dans l’espace bureau, au dernier niveau. Au sol le plancher d’origine a été peint en blanc pour éclaircir la pièce, des anciens combles réaménagées.
  • 2ème prix catégorie Extensions.
  • 1er prix catégorie Extensions: la Ferm'h à Baden. Parafaite intégration à un corps de ferme ancien par les architectes ADAO Architecture & Gérard Lucas.
  • La végétation extérieure encadre l’extension et recrée un rapport privilégié avec le jardin.
  • La nuit, l’extension, sous son enveloppe de verre, apporte une certaine magie.
  • L’extension en ossature bois (Douglas) est recouverte d’un bardage en zinc et en lames de bois massif peintes. Elle se poursuit par une terrasse en pin traité, en limite de propriété, à moins de 3 mètres de la maison voisine.
  • Une mezzanine surplombe le séjour de 35 m².
  • La maison a été construite sur la plate-forme haute tout en conservant le mur de soutènement en pierre d’origine. La dalle de la partie droite hors-sol a été posée sur des plots en béton.
  • Les volumes, au nord, accueillant les chambres, ont été recouverts de panneaux de Fundermax, un matériau inerte et durable et des patios au nord offrent des paysages alternatifs.
  • Prolongeant le pavillon existant la maison s'étire sur toute la largeur du terrain en un bâtiment étroit, ouvert largement au sud. Le séjour orienté au sud et à l’ouest profite désormais d’une terrasse en léger surplomb.
  • La maison d'origine, élégamment engloutie, n'est plus qu'un vestige des année 70.
  • 4 fentes horizontales ajourent le cube rouge qui semble léviter.
  • Le bardage rouge et noir impose fortement une architecture contemporaine.
  • Une terrasse en prolongement de la baie vitrée.
  • L’extension de maison "M", identifiable grâce à son cube rouge.
  • Un jeu de terrasses encadrant les deux niveaux font penser à la proue d’un navire. La couleur rose en touches fait le lien entre les deux bâtiments.
  • L’extension en ossature bois en sapin du Nord, venu de Finlande, est recouverte d’un bardage en red cedar naturel.
  • La résille de métal et de verre donne un aspect contemporain au bâtiment.
  • L’extension accueille une belle cuisine ouverte et conviviale.
  • L’extension a été dessinée en continuité du bâtiment.
  • Le salon offre une autre vue, à l’ouest, protégée par un volet en bois coulissant.
  • Au nord, la seconde extension est revêtue d’un bardage en Douglas à lames non jointives et de largeurs différentes.
  • Une construction qui mixte ossature bois, métal et verre dans une écriture très contemporaine.
  • A l’intérieur, l’espace se déploie sans rupture avec un soubassement de verrière habillé de bois qui cache l’isolation.
  • Bardage extérieur, à lames horizontales, pour l’ensemble du bâtiment habillé de red cedar.
  • Les échasses qui enjambent le bâtiment existant sont autant une particularité qu’un parti-pris architectural.
  • La surélévation est montée sur des béquilles qui renforcent la faiblesse de la construction ancienne.