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Rénovation Maison sans faute !

Galerie photos

  • L’espace est structuré par un meuble avec retour qui sépare le coin repas du coin salon. Ses façades en médium laqué mat en usine sont ponctuées par des niches en plaquage de chêne.
  • Le parquet en chêne d’origine en point de Hongrie a seulement été poncé et vitrifié pour retrouver sa couleur initiale. Le fond des niches éclairées est revêtu d’un papier-peint à effet de feuilles d’or. L’écran TV est caché derrière les portes miroir au-dessus de la cheminée.
  • Le sol de la pièce à vivre fait office de séparation de pièce. Du parquet, dans la partie salon et de grandes rectangulaires dalles de grès cérame, dans la partie cuisine.
  • Sur le canapé du salon, coussins Ferm Living et Bed and Philosophy. Meuble TV dessiné sur mesure par Carl Tran.
  • La décoration et le design du loft ont été travaillés dans un esprit graphique qui se fond avec les murs. Luminaires Tom Dixon, fauteuils Hay. Table de salle à manger dessinée sur mesure par l’architecte d’intérieur Carl Tran.
  • Une simple différence de niveau sépare le séjour (salle à manger et grand salon) du salon TV (chambre d’ami) et de la cuisine, auxquels on accède par quelques marches.
  • Le salon est séparé de l’entrée par une porte vitrée encadrée de rangements qui n’encombrent pas l’espace au sol.
  • Dans le parc, une ceinture périphérique et une trame dense de buis forment son ossature et referment ses vues au paysage extérieur.
  • L’éclairage a été intégré dans la niche de rangement pratiquée à gauche de l’ancien conduit de cheminée.
  • La longue table de repas en métal fait écho à la porte en acier et verre de style industriel qui sépare la pièce à vivre de la chambre.
  • Cuisine, salle à manger et salon ont été aménagés en enfilade dans la longueur de l’unique pièce de vie.
  • L’espace de la cuisine ouverte est marquée par un faux plafond de couleur foncée qui s’encastre dans l’ouverture et assure le lien avec la salle à manger. Le sol est recouvert de parquet de chêne en épi et de dalles de verre feuilleté insérées dans une structure métallique.
  • Fabriquée sur mesure par l’Atelier Saint-Paul, la nouvelle cuisine combine la brillance de l’Inox poli miroir et le caractère chaleureux et mat des façades en chêne brossé. À droite et en partie basse, les placards blancs sont suspendus pour valoriser la sensation d’espace et rappeler le dessin de la console du salon, également suspendue. L’ensemble réunifie désormais cuisine et arrière-cuisine, qui étaient séparées.
  • Une banquette fixe posée sur l’estrade fait office de coin canapé. Comme l’estrade, elle a été conçue en chêne pour créer une véritable continuité entre l’espace salon et la cuisine ouverte. Au mur, toile morcelée et composite, réalisée par l’artiste Jérôme Revon, à partir de deux photographies. A sa gauche, les pavés de verre éclairent, en second jour, la salle de bains cloisonnée.
  • Le coin salon décloisonné est aménagé sur une estrade en bois qui permet de délimiter cet espace tout en profitant visuellement de tout le volume et d’ouvrir la perspective. Dans l’alignement de la poutre du plafond, on a aménagé un placard et, entre sa saillie et le conduit de cheminée, une console basse est suspendue. L’espace immaculé met en valeur la cheminée ancienne en fonte.
  • Dans le salon, les rangements de la bibliothèque murale ont été créés pour structurer l’espace et dégager de la surface au sol afin de placer des fauteuils, une chaise longue et un canapé généreux qui sépare l’espace de la salle à manger.
  • Du mobilier sur mesure a été intégré aux soupentes. Il rehausse ainsi fenêtres et balcons tout en laissant s’attarder le regard sur le paysage urbain. La fenêtre est ainsi encadrée de manière différenciée suivant l’usage de la pièce et de son orientation, côté rue ou cour.
  • Dans la pièce de vie, l’espace au sol a été uniformisé avec un parquet en chêne et les fenêtres ont été changées. Un totem de rangement structure l’entrée. Des rangements bas (Ikea) exploitent aussi les pans de murs sous la pente du toit.
  • On a conservé le mur de refend d’environ 40 cm d’épaisseur. De part et d’autre du salon, les ouvertures permettent l’accès vers la partie technique de la cuisine et vers le coin repas.
  • Dans l’entrée, le sol en marbre dessine un tapis avec un calepinage de marbre en losanges qui met en valeur cette zone de circulation (Emdark et Carni, chez Boucon. Les nombreux rangements ont permis de créer des penderies privées et différenciées pour les occupants de l’appartement. Au plafond, luminaires, Kreon.
  • Le bâtiment principal est flanqué de deux ailes. La terrasse est équipée d’une véritable cuisine d’extérieur.
  • La rénovation s’impose comme le reflet des technologies et tendances actuelles tout en respectant l’âme de la demeure d’origine, témoin du style de Richard Rogers, à travers notamment l’utilisation de produits innovants.
  • Avec son design moderne et industriel affirmé, la particularité de la maison de plain-pied réside dans les façades entièrement vitrées omniprésentes. Meubles bas, USM. Chaises, Vitra.
  • En rénovation, un toit en ardoise s’harmonise avec un appareillage de pierres anciennes, des fenêtres et baies vitrées et un claustra en bois. Modèle Thermoslate® de Cupa Pizarras.
  • Maison en cours d'isolation thermique par l'extérieur.
  • L’ancienne salle de sport avant travaux.
  • Sur le canapé du salon, coussins Ferm living et Bed and Philosophy. Meuble TV dessiné sur mesure par Carl Tran.
  • La décoration et le design du loft ont été travaillés dans un esprit graphique qui se fond avec les murs. Luminaires Tom Dixon, fauteuils Hay. Table de salle à manger dessinée sur mesure par l’architecte d’intérieur Carl Tran.
  • La cuisine après : une cuisine linéaire avec un grand plan de travail installé sous la fenêtre. En partie basse, le réfrigérateur, le four, de grands placards de rangements avec tiroirs à l’anglaise. En partie haute, des étagères pour avoir à portée de main la vaisselle quotidienne et les appareils de petit électroménager comme la machine à café. Le plan de travail de 3 m de long dégagé entre l’évier et la plaque de cuisson offre une belle fonctionnalité. Et les crédences en miroir agrandissent l’espace.
  • La légèreté de la charpente métallique de l’extension s’ajoute à la transparence des éléments vitrés magnifiant la lumière du Sud qui vient lécher la façade en pierre.
  • Amphithéâtre de 100 places créé dans « l’aile des Incurables ».
  • Rénovation du bâtiment du XVIIème siècle.
  • Grâce à ses enseignes partenaires (Point P Matériaux de Construction, Cedeo, Brossette…), Homly You peut également apporter des conseils et idées aux particuliers désireux de se lancer  dans des travaux de rénovation ou amélioration de leur maison.
  • Les artisans éligibles par Homly You sont sélectionnés par 25 commerciaux terrains en France et sur les recommandations des enseignes partenaires.
  • Nouvelle marque de Saint-Gobain, Homly You met en relation particuliers et professionnels pour la réalisation de travaux partout en France.
  • Dans l’ancienne salle principale de la Poste de Trouville, l’architecte Amélie Buvat a recréé des coins intimes avec des fauteuils, des canapés, des tables basses et de nombreux objets décoratifs comme chez soi.
  • En rénovation, les performances thermiques du panneau STEICOflex 036 transforment un bâtiment gourmand en une construction basse consommation.Grâce à sa conductivité thermique très basse, il isole efficacement contre le froid. Mais le panneau stocke aussi la chaleur élevée et isole également en été. Le bâtiment reste douillet en hiver et frais en cas de canicule.
  • La lumineuse pièce à vivre, aux murs nappés de blanc, est ponctuée par les couleurs du mobilier du salon. Le canapé turquoise dynamise l’espace et les tables basses avec leurs plateaux noirs apportent une touche graphique années 1950.
  • En béton recouvert de briques, ses murs opaques et austères ont été percés de nouvelles ouvertures pour communiquer directement avec le jardin adjacent.
  • Le bâtiment est doté d’un escalier de secours en métal de grandes dimensions pour assurer une évacuation optimale de tous les occupants. Le décrochage des façades, lié à la règlementation du PLU, a permis l’aménagement de terrasses qui sculptent le bâtiment et offrent de belles vues sur Marseille.
  • Au sud, les nombreuses ouvertures sont prolongées par de grands cadres en métal laqué qui protègent de l’ensoleillement, tandis qu’à l’est ou à l’ouest, les percements se réduisent.
  • Après sablage, les poutres ont été recouvertes d’un badigeon couleur blanc coton (Lubéron). Des briques de parement blanches, modèle Manhattan chez Modulo, dessinent une ambiance de loft.
  • Dans la salle de bains, le tablier de la baignoire et ses abords sont recouverts d’une mosaïque (www.carrelage-mosaïque.fr), modèle Salvadore 15 (1,5 x 1,5 cm). Baignoire, modèle Néo, Lapeyre (170 x 75 cm).
  • L’aménagement de l’espace se dessine autour d’une structure fusionnant murs et plafonds et permettant de multiplier les usages. Les caissons standard sur roulettes permettent de ranger le matériel artistique pour dégager l’espace.
  • Unité inférieure à deux niveaux. Dans l’unité inférieure, la partie gauche de l’îlot central cache le poste de travail rétractable et monté sur roulettes. Une partie du comptoir de cuisine sert de troisième poste de travail en tirant sur une table cachée. Pour minimiser l’impact visuel de l’escalier qui risquait d’être encombrant dans un petit espace, les architectes ont opté pour des marches flottantes de forme extrêmement légère.
  • Dans le coin salon qui a gardé les cadres moulurés de ses murs, canapé Pembury, recouvert du tissu Mineral, chez The Conran Shop. Table haute ovale extensible, modèle Oqui, et tables basses Jimi, La Redoute. Luminaires Lanterna, chez Petite Friture.
  • La verrière figure un tableau regroupant toutes les couleurs déclinées dans tout l’espace. Les 2 poteaux porteurs qui servaient à soutenir une grosse poutre centrale ont été conservés, car ils ne pouvaient être supprimés qu’à grand frais. La verrière colorée s’insère entre les deux. De part et d’autre, les 2 bandes noires permettent, à gauche, de cacher la cloison de la cuisine et à droite, de composer la symétrie.
  • Une nouvelle entrée est située sous le balcon près du garage conservé.
  • La couleur rouge délimite le premier niveau d’habitation.
  • L’appartement avant travaux et mis à nu après démolition du mur de séparation et dépose de tous les équipements techniques vétustes
  • L’éclairage extérieur a été travaillé pour renforcer l’impression de continuité entre le dehors et le dedans.
  • Idéale pour l’habillage en ITE et en rénovation, l’ardoise offre une solution pérenne et efficace pour l’enveloppe du bâtiment. Elle peut cacher un isolant extérieur, tout en protégeant la maison du froid. Panneaux  Cupaclad® de Cupa Paizarras.
  • Les bibliothèques s’inscrivent dans l’architecture nouvelle du lieu et participent à son cloisonnement partiel. Au sol, les deux interventions lisibles (première et seconde renovation) semblent se chevaucher et mettent en valeur l’histoire particulière de l’espace.
  • Le sol de l’entrée en carreaux de ciment  a été conservé après nettoyage. Les teintes sombres des peintures le mettent en relief.
  • La maison terminée, entièrement protégée par la solution Uniso. Coloris blanc mat. Une solution qui conjugue aspect esthétique et isolation thermique par l’extérieur.
  • La maison avant les travaux d’ITE, un esprit sixties qui aurait plu à Jacques Tati.
  • L’espace en angle avait été précédemment retravaillé par un architecte. La cuisine, située au cœur de l’espace, est devenue le centre névralgique de l’espace. Son sol différencié en carreaux de ciment accentue cette impression. Son implantation n’a pas changée, mais sa surface de rangement a été optimisée. L’ouverture du mur offre aussi un nouvel effet de perspective.
  • La décoration de la pièce à vivre de 35 m² décline le trio bois, blanc, bleu. Canapé, Bo Concept. Chaises chinées de Pierre Guariche, modèle Tonneau ; table ronde, modèle Tulip, créé par Eero Saarinen et éditée par Knoll International. Table basse chinée sur un site internet allemand. Fauteuil vintage dessiné par Hans J. Wegner. Tapis composé d’un patchwork de morceaux de tapis ancien, Saint- Maclou. Le miroir existant posé sur la cheminée est le seul élément conservé de la décoration antérieure.
  • Grâce à l’éclairage zénithal, le salon est baigné de lumière. La cuisine est intégrée à la pièce centrale.
  • L’espace est caractérisé par une grande pièce à vivre comme un loft. Après décloisonnement, on a placé un poteau métallique de soutènement.
  • Le jardin en contrebas est une réelle surprise pour le visiteur car totalement caché de la vue depuis la rue. Il dévoile également des dépendances ancien atelier en bois qui rappelle l’authenticité du quartier tout en apportant le charme d’un esprit «maison de campagne».
  • Pour rappeler le passé du quartier, la baie vitrée intérieure imite les ateliers d’autrefois. Elle est fabriquée en acier finition canon de fusil comme les poignées de portes.
  • Terrasse réalisée avec des briques anciennes de récupération (format : 5 x 11 x 22 cm), chez Vestiges de France.
  • Les modifications apportées rééquilibrent la zone nuit et la zone jour. Les portes des deux chambres existantes ont été reculées pour dégager de l’espace pour le coin repas et la nouvelle salle de bains. La cuisine a été aménagée dans le couloir d’origine. Elle profite d’une double circulation. La verrière permet de capter la lumière du séjour. La chambre des parents offre un mur arrondi qui joue avec la volumétrie de l’espace.
  • L’espace initial offrait des chambres trop grandes et un séjour trop petit pour la taille de l’appartement, à savoir 84 m². La cuisine était inadaptée à un usage moderne familial et convivial.
  • Nouvelle configuration de l’appartement : les trois chambres peuvent éventuellement accueillir un lit de 1,40 m  avec un dégagement de 50 cm autour. Elles possèdent toutes une fenêtre et un linéaire de placard de 2 mètres pour résoudre les problèmes de rangement. La cuisine de 10 m² offre un linéaire de placard de 5 mètres de long. Le séjour ouvert offre une surface de 31 m².
  • Le canapé reprend l’esprit matelassé et capitonné du Chesterfield, mais recouvert d’un textile d’Andrew Martin. Applique murale, Charles Paris.
  • Dans le vestibule, sont exposées trois des quatre appliques aux cerceaux en aluminium poli créées par Jacques le Chevallier et René Koechlin. La quatrième applique a été restituée à partir de l’étude des appliques d’origine. Cet ensemble souligne l’importance du travail de Mallet-Stevens sur la lumière et rappelle son activité de décorateur de cinéma.
  • La rénovation a été l’occasion de restituer des éléments disparus. Ainsi, des contreforts et une tourelle ont été reconstruits au sud et à l’est du grand bâtiment.
  • Associée  à l’Hôtel de Bourrienne, classé au titre des Monuments Historiques depuis 1927, l’usine, également classée, est située au fond de la parcelle, derrière un jardin.
  • Après plusieurs années de travaux, l'intervention des architectes Claude Denu et Christian Paradon pour la structure du bâtiment et une architecture intérieure contemporaine signée par l’agence Jouin Manku, les Haras de Strasbourg ont retrouvé tout leur lustre.
  • La brasserie s’étend devant l’esplanade du manège à ciel ouvert. Le bâtiment historique a été rénové, et révèle toute sa splendeur : six hautes arcades moulurées en plein cintre réparties autour d’un avant-corps central, une façade principale de grès rose.
  • Le salon peut désormais accueillir deux grands canapés (Home Spirit). Le dessin géométrique du tapis Toulemonde Bochart joue avec la poutraison de la cloison mise en valeur par une lasure blanche.
  • Etape 7 : Renforcer l’application du produit d’imperméabilisation au bas du mur, là ou les divers végétaux se développent le plus.
  • Dans le salon, l’esprit « black and white » continue. Table basse Philippe Hurel. Tapis, Sarah Lavoine. Coussins, Lindell & Co de Gabrielle Soyer.
  • Un petit appartement qui a tout d’un grand ! Une grande pièce à vivre, une mini suite parentale, une chambre pour deux enfants et une salle de bains commune avec WC séparés. Les réseaux d’arrivée et d’évacuation d’eau existants ont permis de réaliser le désir des propriétaires.
  • Une niche aménagée sert de table de nuit et abrite le fameux calendrier perpétuel Timor, dessiné par Enzo Mari en 1967 et toujours édité chez Danese.
  • En simples tubes et tôle d'acier laqué, les chaises signées Robert Mallet Stevens demeurent encore aujourd’hui un témoin du génie de son créateur. En plus, elles sont empilables.
  • Un jeu de trois suspensions Beat Light de Tom Dixon éclairent la table de salle à manger.
  • L’espace douche offre une double ouverture. Il suit la configuration contraignante de l’espace tout en longueur.
  • Derrière le lit, une cloison joue à cache-cache avec la salle de bains. Des couleurs douces nappent l’espace comme au premier niveau.
  • Dans la salle de bains de la chambre d’amis, tout en longueur, le miroir double face cache aussi la baignoire. La robinetterie est intégrée dans un coffrage, qui sert de support à la vasque posée.
  • La salle de bains de la chambre d’amis étroite, joue le gain de place, avec des aménagements compacts.
  • Dans la chambre, tout en longueur, et dotée d’une façade complètement vitrée, la vue panoramique domine les toits de Paris.
  • Le meuble d’entrée joue sur les pleins et les vides. Accessible sur 3 côtés, avec ses niches multifonction, il rend des services à tout moment de la journée. En médium laqué mat, il permet de cacher les désordres, et sert aussi de bibliothèque.
  • L’escalier, très graphique, en chêne clair a été dessiné comme un tableau. Pas d’enfant ici, donc pas besoin de garde-corps.
  • Ambiance fifties pour la cuisine qui reprend le code des 3 couleurs (mastic, taupe et turquoise). Série de suspensions signées Claire Escalon et Nicolas Lanno.
  • La cuisine s’intègre à l’espace avec son bloc îlot qui figure un buffet des années 1950. Un comptoir a été prévu pour les repas rapides. Les rangements, sous le plan de travail et l’évier, ont été dessinés en continuité de l’espace. L'éclairage est assuré par une très belle suspension en fil métallique dessinée spécifiquement pour le lieu par Claire Escalon et Nicolas Lanno.
  • Les rangements se font discrets, à la verticale comme à l’horizontale, et s’intègrent à l’architecture d’intérieur. Un code couleur unifie l’ensemble de la décoration, mobilier et aménagements.
  • Une cloison porte-manteau occulte l’entrée sans empêcher la circulation de la lumière. Ce panneau ajouré en chêne teinté repose sur deux blocs creux disposés dans un sens inversé. Les décors organiques ont été découpés numériquement.
  • Dans le salon baigné de lumière, le poteau de soutènement fait aussi office de colonne de rangement. Fauteuil vintage Egg d’Arne Jacobsen.
  • Dans ce site composé de trois lots et anciens garages, Camille Hermand s’est occupée de l’aménagement de deux lofts sur les 3. La façade vitrée identique dévoile des intérieurs très disparates, en adéquation avec les demandes des occupants et leurs modes de vie.
  • Le bâtiment d’origine sombre et opaque témoigne d’une architecture de la fin du XVIIème siècle. A l’époque, il était destiné à accueillir des indigents.
  • Pour assurer la circulation de l’aile des incurables, une galerie couverte et close, un jardin d’hiver, sera apposée sur la façade.
  • La maison après réfection de l’extérieur : mise en place des fenêtres de toit (lucarnes) pour rendre habitable le second niveau sous les combles ; pose de volets en bois peint en blanc, et création d’ouvertures sur le mur pignon qui donne sur la campagne et un petit cours d’eau.
  • Le double volume classique a été conservé. Seules les portes intérieures ont été supprimées pour faciliter la communication entre la salle à manger et le salon.
  • Etape 9 : Combler les fissures au couteau de peintre, puis passer la lame à enduire afin de lisser l’enduit sur tout le long de la fissure.
  • Etape 7 : Passer la lame à enduire dans le sens longitudinal du défaut mural, afin de bien lisser et d’aplanir l’enduit de rebouchage.
  • Le mur, après rénovation.
  • Le premier magasin de la Samaritaine ouvre ses portes en 1870. Petit à petit, il s’agrandit, pour former progressivement l’ensemble des Grands Magasins de la Samaritaine. En 2014, la Samaritaine entrera dans le XXIème siècle.
  • L’agence d’architecture japonaise Sanaa est en charge de la rénovation ambitieuse de la Samaritaine, véritable symbole parisien. Sur une surface de 70 000 m², un véritable quartier de vie va voir le jour : commerces, logements sociaux, crèche, bureaux et hôtel de luxe réalisé par l’architecte Edouard François ; tout est prévu pour faire de la Samaritaine un moteur de la redynamisation économique et commerciale du quartier Rivoli.
  • Au second niveau, le salon. Spacieux, la clarté du sol en chêne blanchi contraste avec le cuir noir des canapés mobilier noir et les poutres foncées, et donnant accès à la bibliothèque, cette pièce est un appel au calme et à la sérénité.
  • Au premier niveau, la cuisine. Pratique, agencée autour d’un îlot central qui structure l’espace et invite à la convivialité, cette pièce devient un lieu de vie à part entière.
  • Après : une salle à manger aux couleurs étudiées, idéalement située à proximité de la cuisine. Des meubles de rangement intégrés à l’espace. Un buffet en médium laqué, à la teinte faisant écho au papier peint. Une table discrète qui calme le jeu des chaises dépareillées. L’harmonie parfaite réalisée.
  • Après : un espace libéré de toutes contraintes : Un coin détente pour les enfants, un mobilier pour dessiner, un bureau pour parents et de la lumière pour tous. C’est le bonheur !
  • Après : un salon lumineux qui mêle design d’aujourd’hui et pièces vintage. Une mise en valeur du piano qui a enfin trouvé sa place. Une configuration agréable et très confortable.
  • Après : des rangements harmonieux et nombreux, des matériaux élégants, un bar recouvert de pierre bleue du Hainaut, un tableau en ardoise pour s’exprimer… Une cuisine moderne et fonctionnelle au quotidien.
  • L’extension cubique bardée de mélèze accueille la cuisine, côté nord. L’ensemble forme un espace traversant nord (sur cour) et sud (sur rue).
  • L’éclairage naturel ou artificiel a été une priorité dans l’espace bureau, au dernier niveau. Au sol le plancher d’origine a été peint en blanc pour éclaircir la pièce, des anciens combles réaménagées.
  • Le salon est bordé par une longue bibliothèque aux étagères sans fond qui laissent apparaître les murs de schiste et de brique datant de la construction.
  • Dans la future cuisine, murs en pierre décapés et sablés.
  • Un salon qui cultive le goût de la brocante et des associations libres. Comme une installation narrative, il raconte une histoire du mobilier à travers quelques sièges…
  • Les cloisons sont utilisées comme des éléments ludiques qui affirment son identité.
  • La cuisine s’intègre  dans le volume de la pièce à vivre qui conjugue, couleur, rangements fermés et ouverts, sans monotonie.
  • Les éléments de la cuisine (Ikea) font face au coin repas. Toute la longueur de la pièce est jalonnée par une tablette sous les fenêtres qui offre des niches ouvertes. Un long tapis ethnique  en plastique protège le sol de la partie cuisine et offre son décor rythmé africain.
  • Les créations Miaow, des textiles aux décors graphiques déclinés en coussins, tabliers, torchons et des exclusivités.
  • Les grandes étagères du salon ont été réalisées en Hi-Macs Alpine White.
  • Plan du studio: la partie haute avec l'escalier menant à la mezzanine.
  • Surfaces équilibrées entre la cour devenue privative et le studio bien agencé.
  • Créée ex-nihilo, la mezzanine accueille un lit double et de nombreux rangements.
  • La grande baie coulissante a remplacé l'ancienne porte et la fenêtre sur cour, grâce à d'importants travaux de structure.
  • L'escalier menant à la mezzanine, en chêne teinté noir.
  • La spécialité de Philippe Demougeot qui remporte tous les suffrages: l'esquisse au crayon du futur projet. Une 3D réaliste dans laquelle le client peut facilement se projeter.
  • Le meuble bas intégré à une double paroi murale en bois fait écho à la poutraison. Dessiné sans poignée, il fait partie intégrante de l’architecture intérieure.
  • Au sol dans la cuisine, les carreaux de grès cérame (Aire Azur Carrelage) qui imitent des plaques d’acier. Meubles Ikea avec façades de placards en stratifié blanc et crédence en verre.
  • Dans la chambre, sous la poutraison en chêne teinté foncé, la tête de lit en médium peint, couleur orange, explose comme une fleur exotique. Elle est composée  d’un panneau de 2,90 m x 1,40 m sur lequel on a collé 4 carrés de médium séparés par une rainure.
  • L’espace se déploie sans rupture et le bloc de la cuisine s’intègre parfaitement à l’espace comme un élément d’architecture intérieure.
  • Le volume de la salle de bains totalement transformé, avec son plan vasque carrelé de pâtes de verre, est mis en valeur par du papier peint au décor géométrique (Cole & Son, modèle Contemporary restyled, Hicks’. Hexagon). Table, Muji. Luminaires, Moooi. Chaises, modèle Panton Chair signées Verner Panton, et rééditées par Vitra.
  • Le jeu de transparence agrandit l’espace. La décoration, choisie sur un mode en noir et blanc, accentue l’impression d’unité.
  • Carrelage du métro jusqu'au plafond, WC suspendus, meuble de salle de bains avec vasque en céramique intégrée et robinetterie Grohe. La salle de bains intègre des rangements et prend un vrai coup de jeune.
  • Le confortable canapé-lit de La Maison du Convertible est astucieusement encadré par une foule de rangements. Pour le tissu, Marion a choisi un velours gris foncé, résistant et très actuel.
  • Le plan de travail côté cuisine en chêne Ikea  se prolonge en large tablette de 50 cm de profondeur pour ne pas envahir trop l'espace et servir de bureau ou de bar.
  • Ludique et multicolore comme un jouet, le nouvel espace salle de bains de l’enfant.
  • Après, une partie dressing a été totalement repensée avec l’utilisation de portes pliantes Lapeyre (Ranch blanc) qui change l’esprit de la pièce.
  • Plan existant et projeté : le mur porteur central a été conservé, mais l’ensemble du plan et des circulations ont été repensés.
  • Un système unique de casier a été utilisé pour tous les aménagements: lits, canapé, niches, bureau. Les pieds du bureau servent aussi de rangement.
  • L’espace a été conçu comme un meuble avec des couchettes intégrées, réinterprétant le code des aménagements gain de place qui empilent les fonctions: dormir et ranger.
  • Côté "pièce à vivre", la surface est passée de de 14 m² à 27 m² en configuration "jour", pour un appartement de 55 m² seulement.
  • Avant le début des travaux, la maison, dans son jus.
  • Après travaux, une cuisine qui s’ouvre sur une petite terrasse, découvrant la campagne et une très belle vue sur le bocage normand.
  • Un salon convivial qui s’articule autour de la cheminée et qui concilie tradition et modernité. Canapé, Caravane.
  • Les installations électriques, interrupteurs et gaines en plastique peint en noir, volontairement apparents, façon usine,  participent au décor de style industriel.
  • Dans cette chambre d’amis, pour mettre en valeur la brique retrouvée derrière de vieux enduits, on a sablé les murs au Karcher et bouché les trous à la chaux, un matériau respirant de même nature que la brique. On a recouvert ensuite avec un produit hydrofuge pour stabiliser la brique et éviter l’effritement des joints. A noter, le coffrage qui camoufle des tuyaux et qui sert à la fois de tête de lit et de chevet pour poser des cadres.
  • La façade de la maison reprend les codes de l’ancien atelier, la brique et le bois.
  • La majestueuse charpente, rénovée et simplement sablée, chapeaute tout l’espace de la pièce à vivre qui compose un plateau d’environ 80 m². Le sol de la pièce à vivre, aménagée au niveau supérieur, est recouvert d’un béton ciré noir.
  • Les espaces extérieurs visibles de partout tournent autour des espaces intérieurs.
  • A l’extérieur, dans le patio, le bois s’impose avec un bardage des parois extérieures en pin Douglas et un sol de terrasse en lames d’ipé. Le choix de l’ossature bois, associé à une l’exposition au sud, offre un apport solaire non négligeable, l’hiver.
  • Côté rue, on a sauvegardé l’esprit de l’entrepôt, simplement ravalé, en remplaçant les anciens volets roulants par un bardage ajouré en pin douglas.
  • La pièce à vivre met en relief la particularité de l’espace au plafond suivant la voute du toit. Le canapé Togo (prototype en version métallisée, Ligne Roset), icône design des années 1970, sans armature a été choisi pour son aspect de gros coussin et pour sa grande facilité d’intégration dans un petit espace. C’est en effet le seul modèle, déniché par le propriétaire, capable de grimper au dernier étage de cet immeuble doté d’un escalier très étroit !
  • La salle de bains, ancien bureau,  possède une identité par le choix d’une couleur qui donne le ton. En continuité du meuble vasque, l’architecte a aménagé un placard en carreaux de plâtre avec portes en médium peint puis recouvert de carreaux de verre teinté jaune. Le joint a été confectionné dans la même teinte. Ni vu ni connu, il renferme le lave-linge.
  • L’escalier, avant travaux, aux marches recouvertes d’un tapis.
  • Dans la salle de bains, on a rajouté un coin toilettes avec une cuvette suspendue et une chasse d’eau encastrée dans le mur. Nappée de grès cérame, l’espace est doté d’un miroir qui agrandit l’espace.
  • La salle à manger, ancienne cuisine, dessine désormais, un coin repas lumineux. Lustre, Bo.
  • Le renfoncement du conduit de la cheminée à permis l’intégration d’étagères de rangement. Table basse, Roche Bobois.
  • La cuisine implantée dans le couloir mixe le noir et l’inox avec un plan de travail en chêne assorti au sol, le tout chez IKEA. Mosaïque de carrelage, Leroy Merlin.
  • Rouge pour la cuisine, avec un plan de travail en résine qui fait écho à la crédence et à la porte des toilettes.
  • L’espace séjour profite désormais d’une belle clarté et peut se cloisonner à loisir.
  • Jeu de cases rouges dans la chambre.
  • Une grande porte coulissante ferme le salon et la chambre et dessine des jeux de perspectives.
  • Les circulations, passerelles en verre et escalier métallique se déploient dans l’espace central sous verrière. Le sol du patio a été rehaussé de 1 mètre par rapport à celui du bâtiment d’origine.
  • La façade de la cuisine offre toute la beauté d’un placage de chêne. Le menuisier a composé avec le bois pour que son veinage se raccorde sur les portes et compose un véritable dessin.
  • L’atelier rénové de l’extérieur, avec sa baie vitrée encadré d’un bardage bois, s’intègre parfaitement dans la trame urbaine de cette petite ville de province.
  • Sous la mezzanine, légèrement plus bas que le dernier niveau, des rangements discrets, ouverts et fermés, assument ordre et désordre.
  • Plan avant/après: une cuisine a conservé son volume initial, une salle de bains où rien ne manque, un coin toilettes séparé, une chambre avec rangement et un salon qui a gagné 2 m².
  • Derrière les hautes fenêtres partiellement ouvrables et opalescentes de la cuisine, se cache la chambre.
  • A côté de la porte d’entrée, le mur opaque camoufle le coin toilettes.
  • Un espace ouvert mais structuré avec une communication facilitée. Un coin jour et un coin nuit bien différentiés.
  • L'entrée a été agrandie pour offrir une double percée vers le séjour
  • Cuisine avant puis après
  • Salle de bains avant puis après
  • Plan avant et après BIS
  • Adapté à meuler dans les angles et zones difficiles
  • Le disque de meulage permet de retirer les traces de rouille
  • L’après de travaux réalisées chez un particulier.
  • La chambres des plus petits
  • A rafaîchir...
  • Grosse isolation des sols et des murs
  • Le petit cheval de bois dans l'ancienne écurie
  • Et enfin la jolie maison prête pour les vacances
  • Les écuries dans leur jus
  • La salle de bains des parents ouverte sur la chambre
  • La démolition en cours
  • Constat des travaux à entreprendre!
  • La cave
  • Larges portes fenêtres avec imposte
  • La cave
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