Des jardins extraordinaires, sous le signe du design et de la créativité

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Depuis 20 ans, ils étonnent, détonnent et dénotent. La 21ème édition des Jardins de Chaumont-sur-Loire est une cuvée délicieuse et délirante, à déguster jusqu’au 21 octobre 2012.

Photo : 4 / 20
« Le Calendrier des 7 lunes », création française de RCP Design Global, Régine Charvet-Pello et son équipe. Un jardin en mouvement qui évolue pendant toute la durée du festival. La passerelle qui bouge dessine le quartier de la lune, symbolisée par l’eau noire du bassin. Et une porte s’ouvre chaque semaine, comme un cabinet de curiosité, découvrant une nouvelle surprise végétale.

« Le Calendrier des 7 lunes », création française de RCP Design Global, Régine Charvet-Pello et son équipe. Un jardin en mouvement qui évolue pendant toute la durée du festival. La passerelle qui bouge dessine le quartier de la lune, symbolisée par l’eau noire du bassin. Et une porte s’ouvre chaque semaine, comme un cabinet de curiosité, découvrant une nouvelle surprise végétale.

©E. Sander
  • « Sylphes », une création de Jean-Philippe Poirée-Ville qui jouxte l’entrée du château de Chaumont-sur-Loire et la Tour d’Amboise. Elle est composée de rubans aériens de mousse végétalisée qui décrivent des arabesques dans l’espace, comme une écriture symbolique. Dès juin, ces entrelacs verts se couvriront de floraisons de 30 cm de hauteur.
  • « Le jardin des délires délicieux », création française de Guillaume Vigan et Alexandre Granger. Une ode à la volupté où trône un lit à baldaquin, habillé de toile de Jouy, qui invite à la rencontre amoureuse et plus si affinités…
  • Un banc fou, fou, fou de Pablo Reinoso en acier recourbé dans le parc du Gualoup.
  • « Le Calendrier des 7 lunes », création française de RCP Design Global, Régine Charvet-Pello et son équipe. Un jardin en mouvement qui évolue pendant toute la durée du festival. La passerelle qui bouge dessine le quartier de la lune, symbolisée par l’eau noire du bassin. Et une porte s’ouvre chaque semaine, comme un cabinet de curiosité, découvrant une nouvelle surprise végétale.
  • « Locus genii, le génie est partout », une création italienne, d’inspiration orientaliste. Façon jardin des Mille et une nuits, ce jardin est planté d’une dizaine de lampes d’Aladin pour exaucer tous les souhaits. La végétation s’accorde avec un décor kitsch et baroque et les fruits ont été remplacés par de fausses pierres précieuses.
  • « Coulisses d’un festin », potager imaginaire réalisé par une équipe française où domine la couleur, les fleurs et plantes comestibles avec des recettes accrochées sur une structure de récupération oxydée. Quant aux bocaux, ils ne sont pas comestibles ni leur contenu !
  • « Le jardin psyché-délice, » une création collective française et un conte qui raconte l’histoire d’Olympe, une jeune fille qui, avant de rentrer, dans les ordres goûtent aux délices de l’ivresse et aux joies de l’existence… Quel sera son choix ?
  • Dans cet autre coin de « Paradis terrestre » récré » par une équipe irlandaise, on se love dans une coque de mousse en écoutant le croassement des rainettes…
  • Dans le périmètre du jardin « Le Calendrier des 7 lunes », création française de RCP Design Global, Régine Charvet-Pello et son équipe, une balancelle en forme de cucurbitacée…
  • Les bancs fous, fous, fous, en acier courbé, de Pablo Reinoso ponctuent le parc du Gualoup.
  • Les bancs fous, fous, fous, en acier courbé, de Pablo Reinoso ponctuent le parc du Gualoup.
  • Au cœur de cette spirale intitulée « Orange mécanique », on goûte aux délices artificiels de l’orange, avec des effluves d’oranger du Mexique sans fruit mais à l’odeur particulier de fleur d’oranger. Une création franco-espagnole, pour se mettre dans la peau de l’orange, et offrir un contre-pied à sa culture intensive.
  • Dans les prés du Gualoup, l’artiste chinoise Shigeko Hirakawa a imaginé « L’arbre aux fruits célestes » et à photosynthèse. Les disques accrochés se teintent de lilas sous le soleil et blanchissent la nuit. Comme une métaphore, cette œuvre, qui fait fleurir les platanes, participe symboliquement à la recoloration de la végétation en souffrance.
  • « En vert », une création française de l’atelier La Superstructure. Comme un monde à l’envers, l’évocation, à travers une jungle délirante, d’un monde inversé. Des bornes optiques avec viseurs et lentilles permettent de retrouver le bon sens commun.
  • « Le jardin des nuées qui s’attardent », création du paysagiste chinois Shu Wang, qui vient de recevoir le Prix Pritzker d’architecture réalisée dans les près du Gualoup. Cette structure complexe, faite d’un entrecroisement de bois de pin, à la manière d’un nid d’oiseau, se recouvrira bientôt de vigne vierge.
  • Les bancs fous, fous, fous, en acier courbé, de Pablo Reinoso ponctuent le parc du Gualoup.
  • « Le jardin des nuées qui s’attardent », création du paysagiste chinois Shu Wang, qui vient de recevoir le Prix Pritzker d’architecture réalisée dans les près du Gualoup. Cette structure complexe, faite d’un entrecroisement de bois de pin, à la manière d’un nid d’oiseau, se recouvrira bientôt de vigne vierge.
  • « Le jardin psyché-délice, » une création collective française et un conte qui raconte l’histoire d’Olympe, une jeune fille qui, avant de rentrer, dans les ordres goûtent aux délices de l’ivresse et aux joies de l’existence… Quel sera son choix ?
  • « Le jardin psyché-délice, » une création collective française et un conte qui raconte l’histoire d’Olympe, une jeune fille qui, avant de rentrer, dans les ordres goûtent aux délices de l’ivresse et aux joies de l’existence… Quel sera son choix ?
  • « Coulisses d’un festin », potager imaginaire réalisé par une équipe française où domine la couleur, les fleurs et plantes comestibles avec des recettes accrochées sur une structure de récupération oxydée. Quant aux bocaux, ils ne sont pas comestibles ni leur contenu !