Galerie photos décorateur

  • Tout concourt à créer une atmosphère intimiste : les grands salons, les cheminées, les œuvres d’art, les collections de peintures chinoises du XIXème, les sculptures, les objets de curiosité…
  • La décoration du salon fait écho à celle de la chambre avec des teintes proches qui se répondent en touches.
  • Les décorateurs Patrice Henry et Marie-Agnès Louboutin ont insufflé, dans ce lieu, un nouvel esprit classique teinté de modernité et de décalages de styles.
  • Sur le tapis, paire de fauteuils avec structure en fils de métal chromé, créés par Verner Panton dans les années 1970. A droite, fauteuil dessiné par la designer danoise Grete Jak dans les années 1960, en teck et cuir d’origine.
  • Le duo Marc Hertrich (à gauche) et Nicolas Adnet (à droite) qui ont réhabilité le plateau d’une ancienne usine d’une façon surprenante. Et dans leur salon, un cabinet de temple chinois du XVIIIème siècle pour vénérer les ancêtres. Il a été customisé avec des vanités.
  • La chambre se découvre derrière deux portes coulissantes à galandage qui se glissent dans la cloison. Les poignées des portes ont été fabriquées à partir de structures de toiture de temple asiatique décapées et repeintes en noir. Le chat noir s’inscrit dans le décor.
  • Entre bleu Klein et bleu Majorelle, portes et murs du couloir qui mène à la chambre des maîtres des lieux. Les objets de décoration cultivent l’éclectisme comme dans un cabinet de curiosité. Bloc de cristal de roche, coffre en marqueterie de coquille d’œuf et sur la poignée de porte des colliers de l’Ile Maurice avec perles fabriquées à partir de pièces récupérées des naufrages.
  • Au cœur de l’espace, la chambre d’amis avec son baldaquin épuré à l’orientale. Portes fabriquées à partir de boiseries chinoises XIXème siècle. Tissus d’éditeurs contemporains et actuels associés avec des coussins ronds achetés à Hong Kong. Au premier plan, petit banc en corde, création Christian Astugevieille.
  • Dans la salle à manger, photographie de Jacques Bosser représentant une geisha de dos. Flambeaux chinois utilisés comme bougeoirs. Sur l’étagère, série de petites statuettes en porcelaine chinoise évoquant l’empereur et sa cour. Sur la table, variation autour du thème du noir.
  • Table de salon en chêne massif teinté noir et recouverte de feuille d’argent hommage au tabouret iconique Tam Tam en forme en diabolo, créé en 1968 par le designer français Henry Massonnet. Derrière le canapé recouvert d’une housse en textile violet pour le protéger des griffes du chat, et de part et d’autre de la porte de la chambre d’amis, meubles symétriques en chêne vernis inspirés par le style des années 1940.
  • Dans l’entrée de l’appartement, des paravents en miroir occultent le dressing, composé comme un grand rangement centralisé, et reflètent l’espace décuplé par les nouvelles perspectives qu’ils créent. Leur ligne dynamique contraste sur le parquet en chêne massif teinté noir satiné et vernis.
  • Fresques sur portes de placard en 4 panneaux réalisés par l’artiste René Caussanel.
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