Galerie photos Oscar Niemeyer

  • Devant le Siège du Parti communiste français à Paris, construit par l’architecte brésilien Oscar Niemeyer, sièges de conversation « Namoradeira » de Jose Zanine-Caldas en pequi massif, conçus par ce designer pour sa propre résidence à Joatinga près de Rio de Janeiro.
  • Les parois sont dotées de murs en béton planche originels, bruts, peints ou vernis. Le parquet est en bois de châtaigner sur chants (bois de bout) dans tous les espaces de consultation. Le lieu est caractérisé par une large verrière et un escalier principal qui suit les lignes arrondies du bâtiment.
  • Plutôt que de réaliser un unique bâtiment dense, Oscar Niemeyer a proposé un système du forum en contrebas des rues avec des boutiques abritées sous des marquises en béton et deux bâtiments circulaires (le théâtre et la salle polyvalente) reliés par une grande dalle. Cette dalle en cantilever prolonge le sol de la ville, si bien que les deux édifices blancs semblent surgir du sous-sol.
  • L’affinement vers le haut du volcan amplifie l’élan dynamique de cette architecture inédite. Niemeyer a rabaissé la place pour créer une construction qui tienne compte du climat (les vents de la mer) et de l’environnement (l’harmonie des bâtiments alentour). La place multiplie les dimensions architecturales : les passants ne voient pas les éléments d’un seul point de vue, ils peuvent aussi regarder la place d’en haut. Est dissimulé ce qui peut l’être, et la surface du sol est aussi aérée que possible.
  • Un volume de révolution : un hyperboloïde, formé d’une coque en voiles minces de béton inclinés, appuyés sur des planchers successifs. Son volume est symétrique, mais ses parois sont à courbure variable. Entièrement constituée par diverses courbes, la Maison de la Culture s’oppose à l’orthogonalité architecturale en général, et au cadre urbain du Havre en particulier. Elle offre un contrepoint au classicisme structurel d’Auguste Perret, des immeubles voisins et aux typologies de la reconstruction française.
  • Le Petit Volcan, comme son homologue le grand Volcan, est caractéristique des recherches plastiques de l’architecte Oscar Niemeyer qui transforme une construction en sculpture habitable. Les coffrages pour le béton ont été réalisés avec des planches de bois sablés pour conserver, au décoffrage, un parement brut aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur des deux bâtiments. Une coloration blanche a été utilisée pour éclaircir les façades, actuellement revêtues de Revcoat.
  • L’université de Brasilia a été construite au cœur de la ville, par Oscar Niemeyer. Aujourd’hui, elle accueille chaque année plus de 30 000 étudiants.
  • L’esplanade des Ministères se trouve au bout de l’Eixe Monumental, comme la tête pensante de la ville.
  • Le Sénat du Congrès National du Brésil sera abrité par une coupole convexe, tandis que la Chambre des Députés, sera coiffée d’une coupole concave. Un effet de style très avant-gardiste, propre à Oscar Niemeyer.
  • Le photographe français Marcel Gautherot fait partie de l’équipe d’Oscar Niemeyer. Spécialiste de l’architecture brésilienne, il documente tout le processus de construction de Brasilia. Ici, le palais du Congrès National en pleine construction (1958).
  • Le président brésilien Juscelino Kubitschek, et l’urbaniste Lucio Costa, au point zéro de la construction de l’Avenue Monumentale, qui coupe la ville en deux parties symétriques. Cette avenue est considérée par les brésiliens comme la plus large du monde.
  • Lorsque les travaux commencent en 1956, le Planalto Central est envahi par plus de 60 000 « candangos », les ouvriers bâtisseurs de la future Brasilia. Mario Fontenelle offre ici une vue aérienne de l’esplanade des ministères, à l’est la construction du Congrès National, et à l’ouest la gare routière de Brasilia.
Afficher la galerie Oscar Niemeyer

Tous les articles Oscar Niemeyer