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  • Un effet d’optique comme un zoom sur un écran de télé conserve la transparence de l’espace tout donnant du caractère au restaurant par l’interaction des couleurs entre elles. Les couleurs énergiques et dynamiques créent le mouvement.
  • Le restaurant, divisé en trois grandes arches en verre de couleur bleu, rouge et vert, évoque l’effet kaléidoscopique d’un écran TV. Et les ambiances colorées évoluent tout au long de la journée.
  • A gauche, dans le restaurant Schoenemann, imaginé comme un lounge décontracté et organisé autour de canapés, sofas et bridges, les teintes douces des murs servent d’écrins à une superbe série d’œuvres d’André Duval. Ce dépôt de la collection particulière du Docteur Christian Elleke incarne des personnages d’opéras célèbres et rend hommage à l’ancien opéra-comique de Francfort, situé tout près de là. A droite, dans le cabinet de curiosités, des collections atypiques et des trésors naturels.
  • Le restaurant, où Brice Morvent, demi-finaliste de Top Chef 2010 officie, propose une carte minimaliste bio, locale et de saison en partenariat avec Biocoop.
  • Dans un espace convivial de 243 m² qui peut accueillir jusqu’à 120 couverts, voici une cantine d’un nouveau genre avec des canapés, une bibliothèque et une ambiance comme à la maison.
  • Les célèbres lépidopthères de Damien Hirst dans une des salles du restaurant.
  • Dans le restaurant, des repas servis dans un espace salon cosy avec une bibliothèque comme dans une maison privée.
  • Des tables en marbre noir pour le restaurant qui offre 90 places assises à l’intérieur et autant à l’extérieur.
  • Les rooftops se dégagent en haut des deux grandes ailes centrales où l’on découvre des potagers gérés avec des voisins, un summer bar, un barbecue et bientôt un bar à huîtres.
  • Découpage du gigot en salle, un moment de partage.
  • Les fameuses ravioles aux giroles.
  • La superbe salle mythique du Train Bleu : lustres dorures et plafonds peints.
  • Le célèbre groom, conteur d’histoires au restaurant Train Bleu. Sinon, il aide les voyageurs avec leurs valises.
  • Tubes de cuivre oxydé en guise de pare­ments pour les parois de la Cic­chet­te­ria National qui propose des tapas à la vénitienne.
  • Dans le restaurant, les couleurs nuancées des murs s’accordent avec celle des Banquettes en velours.
  • Dans une convivialité tout orientale, on dîne ou on déjeune sur une grande table en marbre de Carrare, au restaurant Neni.
  • La salle du Lou Marquès.
  • Sous les « sunlights » des réflecteurs-diffuseurs de type Holophane, le mobilier met en évidence des chaises et des tabourets Tolix qui dessinent un décor façon atelier, avec la tôle et l’acier dans tous ses états.
  • Un style industriel coloré qui mêle le métal sous toutes ses formes, le bois et la force graphique des fresques de l’artiste Da Cruz.
  • La salle de restaurant exprime l’idée d’accueil et de partage avec sa généreuse bibliothèque, remplie de livres et d’objets de voyage, comme à la maison.
  • Posée sur l’ancienne terrasse recouverte de pierre bleue, la salle de restaurant aux murs vitrés offre une toiture à débord avec un jeu de lamelles de bois que l’on retrouve à l’intérieur.
  • Le mur est recouvert par un linéaire de rangements qui composent un meuble d’office très fonctionnel. En MDF fraisé et laqué, il a été conçu pour que chacun des employés possède son espace personnel de travail pour le service en salle.
  • Avec l’aide son jardinier, le domaine de L’Air du Temps, autrefois 5 hectares de culture vierge, produit sur le site même du restaurant, 90 % de ses besoins en légumes, fruits et herbes, pour une cuisine qui vit au rythme des saisons. A ce jardin qui arrive à sa 6ème année, s’ajoutent les produits des producteurs locaux pour la viande et le poisson. La mission de Sang-Hoon Degeimbre et son équipe : composer chaque jour une table 100 % belge.
  • Le début du menu dégustation de l’Air du Temps débute avec Anneaux, un plat à base d’asperges blanches de Malines, de couteaux et de pousses sauvages.
  • Les chaises existantes, un modèle édité par Cassina, ont été customisées avec une housse en peau brute. Les baies vitrées ont été installées sans chambranles pour accentuer la sensation d’être à l’extérieur et dessiner une boîte en verre chapeautée par un plafond au décor organique.
  • Inspiration naturaliste, pour le plafond qui dessine un puzzle de 2000 lamelles. Sur la vitre qui occulte le bar à cocktails, un film PVC transparent imprimé d’une feuille nervurée en gros plan crée une certaine intimité et le cache du reste de la salle.
  • Dans la salle de restaurant, plafond avec lamelles en balsa (léger et souple) teinté qui a la particularité de résoudre aussi les problèmes d’acoustique et absorbe les bruits au même titre que la moquette épaisse grise qui évoque subtilement la couleur particulière de la pierre bleue belge.
  • A l’accueil du restaurant, une table en bois brut retravaillé façon demi tronc monté sur un piètement géométrique et sculptural en croisillons, création Exsud.
  • A gauche, Sang-Hoon Degeimbre, doublement étoilé depuis 2008, n’est retourné, en Corée, qu’à l’âge de 30 ans, en 2009. Ce voyage a influencé l’évolution de sa cuisine qui mêle subtilement racines belges et influences asiatiques. A sa carte, une cuisine urbaine d’influences, 70 % belge et 30 % coréenne au niveau des ingrédients, mais qui assume ses influences asiatiques comme en témoigne ce sushi décomposé.
  • A gche, Charlotte Esquenet, fondatrice de l’agence Exsud, architecte d’intérieur et designer belge installée en Pologne depuis 1999. Elle partage avec Anne-Julie d’Entremont une vision particulière sur les espaces d’aujourd’hui en réinventant avec élégance et modernité des lieux emblématiques et en créant de nouvelles matières. A droite, applique lumineuse dorée à la feuille pour éclairer de reflets précieux le meuble d’office de la salle de restaurant en MDF laqué et animé d’un décor aux lignes organiques.
  • Une fresque murale de 100 mètres de long dessinée par Laura Gonzalez et réalisée par David Roma (Atelier Roma) anime l’espace.
  • Le restaurant de l’hôtel « Le Berger » et sa véranda font face à l’hôtel Jardin Secret, en cœur d’îlot.
  • Les couleurs pastel et demi-teintes des sièges font référence à la palette de Paul Cézanne et des peintres post-impressionnistes. La teinte du mur est inspirée de celle des tuiles anciennes en terre cuite, particulièrement claire dans le sud de la France.
  • La brasserie offre un service take away séparé par un paravent en cannage.
  • Le bar, ave son haut comptoir et ses rayonnages en laiton fait référence aux cafés marseillais et l’ambiance des romans de Marcel Pagnol. Les hauts tabourets, façon bistrot, reprennent l’idée du mobilier Thonet en bois courbé, très en vogue au début du siècle.
  • Le restaurant Origin est une cuisine et une table ouverte privilégiant les valeurs terroir comme les valeurs humaines.
  • L’intérieur du restaurant fait référence au Merzbau du plasticien Kurt Schwitters, une habitation sculpturale réalisée à partir d’éléments récupérés.
  • Dans le restaurant, fauteuils Leila, création Maurizio Manzoni et Roberto Tapinassi chez Pedrali.
  • Le Bolibar offre de larges banquettes pour créer une ambiance feutrée et conviviale. Et le lieu est sublimé par une terrasse avec une vue panoramique à 360° sur la baie.
  • Grande fluidité de circulation dans le restaurant du Paradise Blue Hôtel.
  • Le sol existant composé de dalles minérales et d’une mosaïque de galets a été conservé. Il s’accorde parfaitement avec la nouvelle atmosphère marine. Coussins à motifs turquoise, Lazare Home.
  • Dans le restaurant, la décoratrice a réutilisé les éléments décoratifs et les chaises du lieu d’origine en rotin et osier qu’elle a mis en valeur sur la toile de fond d’un lambris mural bleu.
  • Le restaurant Beach Bar et Grill offre la rusticité d’un lieu sauvage. Comme une case africaine traditionnelle, il est habillé de pisé ocre et structuré avec des poteaux et des garde-corps en branches brutes. Les sièges pliants et autres fauteuils en bois sablé et toile imprimée de motifs, dans un camaïeu de bleus, jouent la carte de la décontraction et de la simplicité.
  • Dans les restaurants comme dans les chambres, l’ensemble du mobilier, tous les luminaires et objets décoratifs, ont été dessinés par le Studio MHNA, avec le souci de renouer avec les savoir-faire traditionnels et les fabrications locales, celles d’Afrique du Sud, de l’île Maurice et de l’Océan Indien d’une manière plus globale.
  • L’esprit design des restaurants fait référence au monde marin et la magie de la mer.
  • La décoration du restaurant compose une atmosphère contemporaine de brasserie de style français avec des panneaux de bois, un comptoir coiffé de marbre, des murs en plâtre et de confortables banquettes.
  • La salle du restaurant est largement ouverte sur l’extérieur.
  • Des petits « îlots » ovoïdes créent des zones d’intimité pour se regrouper par affinités dans la salle de restaurant.
  • Geste délicat et précis. Dans chaque bol les ingrédients et les saveurs s’harmonisent et se complètent. Bols en terre chamottée (argile pure et granules) création Bibenbou.
  • La salle du restaurant accueille 50 couverts et a été entièrement réhabilitée. Sol en béton ciré, murs en briques d’origine, patine talochée frega, technique polonaise de peinture à effet.
  • Belle vue sur la collection des barbotines avec la présence mystérieuse de cette femme qui surveille le Flaubert.
  • Sur la terrasse, des parasols venus des Puces de Saint-Ouen et d’un catalogue forain du quartier proche.
  • Couleurs rutilantes pour ce lieu bigarré et animé d’un effet de scintillement d’étoiles provenant des suspensions graciles à filaments.
  • La brasserie Alfons vous accueille sous une arche en pierre qui s’associe à la brique, un matériau à l’identité belge.
  • Un aperçu de la belle terrasse du Chamaré Montmartre.
  • Une vue plongeante sur la salle principale du restaurant.
  • La salle de restaurant et sa cuisine pro reprend le code couleur de l’hôtel, le bleu intense de l’oeuvre de Daniel Buren.
  • Fish and spices crème de petits pois et frites à gauche et œuf poché à la crème de parmesan et chips de bacon à droite.
  • A Lyon, le restaurant Matsuri a été implanté dans un bâtiment ancien qui a conservé ses arcades et sa façade d’origine avec encadrements d’ouvertures en pierre apparente.
  • Les lames de bois enveloppent le restaurant comme un cocon et jouent avec la géométrie des tables tournantes et du comptoir.
  • Dans le restaurant Georges du Centre Georges Pompidou, les architectes ont inséré une sorte de présence inexistante, une réponse presque non architecturale ou non conçue. Ils ont travaillé le sol et proposé une surface déformée pour insérer une série de volumes, créant ainsi un nouveau paysage à la fois intérieur et extérieur. Cette surface de plancher ou «peau» a été de fabriquée en aluminium, un matériau qui, une fois brossé, absorbe et réfléchit la lumière.
  • La décoration du Surfing fait écho aux camaïeux de toutes les mers et des bleus de l’Océan Atlantique.
  • Le panneau photo façon poster géant cache un long couloir de 90 cm de large, une zone technique avec passe-plat qui sert à la circulation des serveurs.
  • Grand angle sur la salle de restaurant du Surfing qui offre à travers un châssis coulissant une vue panoramique sur l’océan.
  • Les délicieuses antipasti italiennes, des produits extrêment frais et amoureusement séléctionnés.
  • Le restaurant Marcella vu de l’extérieur.Bel hommage à la gastronomie italienne.
  • Parmi les plats signatures, les croustillants de canard à la sauce balsamique.
  • Une ambiance déco d'inspiration coloniale pour encore plus d'évasion.
  • Le magistral pâté croûte interprété par Anthony Detemmermann.
  • L'emblème de ce mythique restaurant : le moulin !
  • Noir comme un risotto à l'encre de seiche !
  • Les murs sont habillés d’un papier-peint en grisaille évoquant Florence, la ville idéale selon Léonard de Vinci, et quelques « Putti », fameux angelots ailés aux joues rebondies.
  • Gloria, la maîtresse des lieux, présente la carte du jour.
  • La salle du Petit Sommelier, ambiance brasserie 1900
  • À la tombée de la nuit, le Dom Juan II fait partie du paysage féérique et pittoresque de la Seine avec vue sur la cathédrale Notre-Dame.
  • La table a été entièrement relookée avec des nappes en lin gris clair et des assiettes conçues spécialement pour le yacht.
  • La façade de l'établissement sur la rue Monsieur Le Prince.
  • La grande et très agréable salle du restaurant Elmer, tout proche de la place de la République.
  • La salle du restaurant dessinée par l'architecte Frédéric Druot.
  • La superbe bâtisse du XIXème, entièrement rénovée grâce à l’énergie de Pierre Vandendriessche.
  • La salle du restaurant joue sur l'épure avec tables et chaises blanches.
  • Service efficace chez Hakata Choten, restaurant spécialisé dans l'authentique ramen au tonkotsu décliné en différentes versions.
  • Sur la façade de l’ancienne demeure privée viticole, des aménagements en verre ne dénaturent pas le caractère ancien de la construction.
  • Les murs transparents du restaurant jouent avec la lumière et la végétation environnante aux pieds desquels poussent les vignes.
  • Le restaurant entièrement vitré offre une vue plongeante sur le domaine viticole. Les coussins rouges, couleur lie de vin, composent un hommage au paysage environnant. Sol en mosaïque de marbre. Chaises Kettal.
  • La salle pourrait presque faire penser à une cathédrale.
  • Alain Ducasse est le chef des cuisines des deux restaurants du Meurice. Dans un décor luxueux, abondant, et royal, dégustez les plats raffinés du chef, sous des peintures et fresques murales d’exception.
  • Jérôme Banctel et Matthieu Devaux sont aux commandes du restaurant de l’hôtel. Ils vous proposent une cuisine méditerranéenne, rendant hommage à la cité phocéenne.
  • Le château à la française... vraiment impressionnant en plein cœur de Tokyo.
  • La salle de bar de l’Etoile de mer, peintures de Thomas Rebutato.
  • Contrastant avec l’éclat chromé des cloches, les fauteuils sobres et discrets du restaurant ont été confectionnés par l’entreprise italienne Polifom, qui incarne l’exigence industrielle au service du confort.
  • La réalisation des trois cloches dans le restaurant ADEPA a nécessité 3500 heures de travail par Matinox et l’Atelier Pierre-Yves Le Floc’h. A L’origine, cette entreprise conçoit et réalise des cuisines gastronomiques sur mesure.
  • Le restaurant Dolce Vita vous propose une cuisine italienne de qualité. Dans un décor aux couleurs du drapeau italien, le restaurant vous offre une cuisine maison, fraîche et savoureuse.
  • L’un des aspects novateurs de l’hôtel est de proposer un séjour diététique à sa clientèle. Le restaurant « blue bar » est spécialement consacré à cet effet, sans en oublier le design minutieux et élégant de l’espace.
  • Le restaurant l’Assise, propose une cuisine raffinée française, et ce, dans l’ancienne Salle des Audiences.
  • Le portrait du chef prometteur: Stéphane Pitré.
  • L’éclairage du restaurant a été confié à l’Observatoire International, studio de mise en lumière. De remarquables suspensions viennent couronner les tables de la salle capitulaire. Associant le noyer et le cuivre, ces pièces uniques ont été fabriquées par l’entreprise Brossier Saderne.
  • La salle du restaurant Le Doyen avec vue sur les jardins des Champs Elysées.
  • Le Caviar House de la place de la Madeleine est agencé avec du Corian. Elégant, le bar noir et blanc, dessiné par le cabinet Jacques Grange’s Office, a été conçu avec les coloris Glacier White et Nocturne.
  • Blanc et gris se marient dans la douceur d’une salle de restaurant apaisante, où les panneaux jouent avec les vibrations de la lumière.
  • Le restaurant 58 Eiffel offre d'un côté une vue panoramique imprenable sur Paris, et de l'autre, une vue sur l'armature de la tour.
  • Au premier, les recoins plus intimes de la brasserie se nichent sous la pente du toit avec de larges banquettes en cuir et des matériaux naturels identiques à ceux du premier niveau.
  • Légendaire, le Jules Verne permettra de changer d’année avec une vue à couper le souffle.
  • Le Paradis du Fruit Roots vous fait pénétrer dans un monde enfantin et imaginaire. Au mur, d’espiègles portraits d’enfants grimaçants et des pommes percées d’une flèche faisant référence à la légende de Guillaume Tell, héros de l’indépendance Suisse, qui releva avec succès le défi de tirer un carreau d’arbalète dans une pomme placée sur la tête de son fils.
  • Les piliers enrobés de fils de scoubidou façon madras, cette étoffe de coton et de soie de couleur vive aux motifs formant des carreaux, contribuent à la convivialité et à la gaité du lieu.
  • Lignes graphiques et jeu de cloisons transparentes à mi-hauteur signent le décor de la partie bistrot. Lampes articulées (lampes Gras).
  • La salle du restaurant gastronomique du Rosengarten.
  • L'élégante salle du restaurant Le Rialto.
  • Décoration sobre et contemporaine avec des murs blancs immaculés qui se détachent sur un sol noir.
  • Joli choix de carpaccios et autres poissons crus comme le bar, les Saint-Jacques, les daurades et le thon.
  • A deux pas de l'Etoile, Helen affiche une carte de haute qualité avec des produits de la mer de premier choix.
  • La salle voutée du sous-sol, idéale pour les petits groupes et les diners entre amis.
  • L'élégante salle du restaurant "Epicure" imaginée par Maja Oetker, la propriétaire de l’hôtel, et le célèbre décorateur Pierre-Yves Rochon
  • Déco inspirée de l'Hymalaya pour certaines chambres
  • L'Inde au coeur des trois vallées
  • Très belles salles de bains, tout de marbre vêtues
  • Succulente table et mets raffinés au dîner
  • Les bons trucs de Trish, sans tricher...
  • Le clone de "Clooney" ?
  • Quelques tables dehors...
  • Une déco à la mode, mais sans plus
  • Et une table haute à la Starck.
  • Belle terrasse au calme à deux pas des Champs-Elysées
  • Le chef, Romain Marzet, propose une cuisine raffinée
  • Belle salle feutrée pour repas d'affaires...
  • Une parfaite maîtrise de la cuisson des légumes
  • Un peu plus moderne, le salon Guimet
  • La salle Lamennais entièrement lambrissée
  • Le salon Saturne à la décoration ultra classique
  • Les maîtres des lieux: Armen Petrossian et Rougui Dia
  • Ambiance russe autour de rutilants samovars
  • Un décor russifié pour l'occasion.
  • La chef Rougui Dia mêle les saveurs slaves aux épices africaines
  • La blanquette revue par Frederick e. Grasser Hermé
  • Madame Maigret, fine cuisinière, savait comment fidéliser son commissaire de mari.
  • Le Choc O ganache en dessert à couper au couteau
  • Les escargots de Bourgogne en coquille de brioche
  • Le coin cheminée, contemporain et cosy
  • Ambiance au Pur’restaurant
  • Le chef Jean-François Rouquette
  • Un verre au bar pour commencer la soirée
  • Le Canard de la Saint-Valentin
  • De bien belles boisieries
  • Des tables espacées
  • Elégance du style Gillles et Boissier
  • La terrasse couverte sur l'avenue
  • Déco zen pour repas zen
  • Michel Trama
  • Les gambas version Trama
  • Une brandade de morue revue
  • Dessert cristallisé
  • Un lieu d'exception
  • La réception
  • Une façade ancienne et le jardin
  • Décoration raffinée pour un chambre Deluxe
  • La Potato cream soup
  • Alain Passard
  • Légume à l'aigre doux
  • Tomates en déclinaison
  • Asperges à la verticale
  • Légumes à l'aigre doux
  • Jean-Philippe Leboeuf et Eric Jolibois
  • Toute blanche et toute simple, la salle du Clocher Pereire
  • Ambiance industrielle et vrais produits
  • Jean-Charles Baron et son second
  • Fruits et légumes de saison
  • Le macaron léger aux framboises
  • Risotto aux Saint-Jacques
  • La Galerie Majorelle
  • La Piscine et le Pavillon
  • Bernard Magrez et Joël Robuchon
  • Avec Robert Hossein et Yannick Alléno
  • Un style
  • Sobriété du décor
  • Rencontre des saveurs entre le Brésil et le Liban
  • Le homard en salade
  • Une bâtisse ancienne et familiale
  • Douceur et calme au spa
  • Un restaurant vraiment gastronomique
  • Saint-Pierre rôti et sa purée à la vanille
  • Ambiance classique et contemporaine
  • Une très belle maison bourgeoise
  • Un restaurant spacieux et cossu
  • Stéphane Ringer et Claudy Obriot
  • carpaccio de langoustines au pamplemousse
  • Le vide poches
  • Lumière tamisée
  • Le thé Box Minceur par Fauchon
  • Belles carrosseries
  • Une entrée très
  • Ambiance feutrée
  • Renata en tenue de chef
  • Toutes les saveurs autour du saumon
  • Une jolie façon d'accomoder les crevettes
  • La salle, confortable et intime
  • Le pigeon "maison"
  • Une déco traditionnelle
  • Les paillottes
  • Déjeuner sous la tonnelle
  • Un décor simple et champêtre
  • Une bonne table au grand air.
  • Les caves voutées ont laissé la place à une salle élégante
  • Un décor classique pour une cuisine bourgeoise
  • Le Terminus Nord
  • Les cartes parfumées
  • Senteur de thé pour l'Othello
  • Des chambres à la décoration chic et soignée
  • Le Parfum Paéva avec son joli vaporisateur
  • Bougie à la guimauve Délice
  • Le nouveau restaurant
  • La Bougie Amandine
  • Grande tradition chez Bofinger
  • Le jeune chef, Nicolas Rucheton
  • Un couvert soigné
  • Des tables espacées pour respecter les confidences
  • Le grand hall, tout de marbre vêtu!
  • La patronne!
  • Les offrandes
  • Beignets de crevettes
  • La daurade façon Ly
  • Composition de fruits frais
  • La soupe de poulet au lait de coco
  • Le 95 avenue Niel
  • Les calamars frits
  • Elixir Cranberry Framboise Ibiscus
  • Un livre acheté au café-librairie, pastille verte: premier prix!
  • Le cheese cake Saori
  • Sérénité au jardin
  • La façade principale de l'hötel
  • Un pilier couvert de mosaïques
  • Le patio vu d'en haut
  • L'heure du thé à la menthe